الاثنين، 30 يناير 2017

LES ATELIERS DE TISSAGE TRADITIONNEL A DJERBA

Le tissage est encore pratiqué à jerba, tissage de la laine pour les couvertures mais aussi tissage des fils de soie importés de Chine pour les belles foutas de mariages. Cette activité, toujours masculine, se pratique sur de vieux métiers de bois installés dans des ateliers semi-enterrés : ainsi, la température reste à peu près constante à l'intérieur, ainsi que le degré d'humidité. Ces deux conditions améliorent le confort du tisserand mais, surtout, les fils de soie et de laine peuvent se travailler aisément, ils ne sont pas cassants. Ces ateliers ont tous été construits sur le même modèle : une pièce longue au toit arrondi,au sol de sable, une toute petite fenêtre au fond de la pièce, souvent une simple ouverture garnie de barreaux ou d'une grille de fer forgé. A l'autre extrémité de la pièce, la porte de bois reste ouverte pendant les heures de travail, donnant ainsi au tisserand un peu de lumière. Cette porte perce une façade au fronton triangulaire qui peut être joliment orné de petites corniches ou de motifs sculptés plus riches encore. Ce fronton rend un atelier de tisserand reconnaissable parmi les autres maisons d'une pièce qui avaient souvent des allures assez semblables. http://www.de-tunisie-et-ailleurs.com/tisserands.htm µ










Scènes de vie / LE KEF SOUS LA LA NEIGE

Source: page facebook 2015 الكاف وجهة سياحية










PIECES DE MONNAIE EMISES IL Y A UN SIECLE SOUS LE REGNE DE MOHAMED NACEUR BEY

















HISTOIRE DE LA PRESSE ENFANTINE EN TUNISIE

1958

1966

1981

1984

1986

1992

1996






2008
2010

2011



2012

Galerie Roubtzoff / EXPOSITION à la mémoire de HABIB BOUABANA

Habib Bouabana (1942-2003). C'était un peintre exceptionnel qui a marqué la peinture tunisienne du XXe Siècle. Malgré ses différents avec l'École de Tunis, il a peint avec talent, mais à sa manière des scènes de la vie traditionnelle tunisienne. Peintre figuratif, d’inspiration très libre, parfois débridée, chantre de la peinture onirique, celui que l’on appelait le «Modigliani tunisien» peignait des portraits et des scènes tirées des atmosphères et traditions tunisiennes.