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الجمعة، 20 يوليو 2018

Martyrs de la bataille de Bizerte du 19juillet 1961 une histoire à ecrire / Martyrs de Kelibia شهداء معركة في بنزرت مساهمة في كتابة تاريخ مغمور

بمجرد دعوة القيادة التونسية الشعب الى الاستعداد لمعركة الحسم في بنزرت لاسترجاع ىخر جيوب الاستعمار كان اندفاع أبناء قليبية بلا حدود فهبوا يلبون دعوة الزعيم بورقيبة الى التعبئة العامة و خرجت مظاهرات شعبية لأيم متتالية و أذكر أن احدى المظاهرات جابت شوارع المدينة و توقفت امام مقر المعتمدية (قرب بيت الماء) لتستمع الى الخطب الحماسية التي كان يلقيها الشباب المثقف المتحمس من امثال حمادي الانقليز و محمد أحمد و الصادق مجدوبة , تلك الخطب التي دعوا فيها المواطنين الى التضحية بالدم و المال من اجل تونس و اعلنوا فتح باب التطوع ليندفع المقاومون ببنادقهم القديمة و الشبان بعزائمهم نحو بنزرت غير آبهين بما ينتظرهم بهدف واحد هو مؤازرة الجيش التونسي الفتي في مواجهة آلة الاستعمار الفرنسي - ومن المناضلين الشبان الذين التحقوا بالمعركة و عادوا منها سالمين و هم على قيد الحياة نذكر السادة الهادي الشيخ و الهادي الاجنف و محمود غرس الله - كما كانت مساهمة قليبية بالدم في معركة بنزرت من خلال استشهاد 5 جنود من ابنائها وهم الشهداء محمدبن مسعود و سليم التريكي من قليبية المدينة و الشهداء محمد الطيب السردوك و محمد رجب بن ابراهيم و جميل بن حمودة الابيض من مواليد وادي الخطف و يمكن ان نظيف اليهم قائد المدفعية الرائد البجاوي الذي يربطه نسب بقليبية باعتبار ان والدته من قليبية حاولنا التعريف بمساهمة قليبية في معارك تونس الحاسمة و التعريف بشهدائها الابطال لعل ذكراهم تكون مصدر الهام للشباب اليوم للتمسك بالوطن و الاستماتة في الدفاع عنه و الارتقاء به








الجمعة، 25 مايو 2018

25 MAI 1958: BATAILLE DE REMADA

Trois mois seulement après le bombardement de Sakiat, une formation française de trente blindés, équipés d’armes automatiques et de canons, brava l’interdiction tunisienne, quitta la base de Remada et occupa le village de Bir ‘Amir, situé à 40 km plus au Nord. Le 19 mai 1958, les forces tunisiennes, qui ont reçu des renforts venant de Tataouine, réussirent à les déloger et les pourchassèrent jusqu’à leur camp. De nouvelles troupes furent également postées tout autour, à Hashim, Oued al-Ghar et à Kambut, afin d’isoler la base et de l’empêcher de recevoir des renforts des postes avancés de Dhiba et de Bordj-le-Bœuf (actuel Bordj Bourguiba). Le soir du 24 mai, un blindé français fut détruit en tentant de forcer un barrage tunisien à Kambut, sur l’axe reliant Remada à Bordj-le-Bœuf. Une seconde offensive coûta aux Français de lourdes pertes. Suite à l’interception de renforts venant de Dhiba, des avions décollèrent de l’Algérie voisine et pilonnèrent durant toute la journée du 25 mai les positions de l’armée tunisienne et des habitations civiles. Une famille entière fut décimée. Les forces tunisiennes se retirèrent vers les collines avoisinantes et continuèrent à harceler leurs ennemis retranchés autour de Remada. Les affrontements, qui cessèrent le 28 mai, coûtèrent la vie à des dizaines de soldats tunisiens, parmi lesquels se trouvait un des plus grands héros de la résistance, le mythique Mosbah Jarbou‘. Les Français ne déplorèrent que cinq victimes et dix huit blessés. Six de leurs véhicules militaires furent, en outre, détruits. Une plainte fut également déposée au Conseil de sécurité le 29 mai 1958. La commission américano-britannique de bons offices, formée par l’instance internationale, proposa le retrait des forces d’occupation de tout le territoire tunisien, à l’exception de Bizerte, à propos de laquelle elle engagea les deux parties à entamer des négociations. Par un échange de lettres (17 juin 1958), les Français s’engagèrent à retirer dans un délai de quatre mois leurs troupes, tout en promettant un accord bilatéral relatif à Bizerte. Cette offre fut acceptée par la partie tunisienne, car elle garantissait l’inviolabilité de ses frontières. Malgré cet accord, les Français ont continué leurs agressions contre les confins occidentaux, où cent quatre-vingt-seize accrochages les opposèrent aux résistants algériens entre juin 1959 et mars 1960. Du 28 mai au 2 juin 1960, le territoire national fut intensément pilonné par l’artillerie lourde, dans le cadre de l’opération « Boxe ». Vers la même époque, le dispositif français de Bizerte fut renforcé par de nouveaux avions, des vaisseaux et des équipes de parachutistes, afin de renforcer la mainmise sur cette base stratégique et de mettre les Tunisiens devant le fait accompli. http://www.hmp.defense.tn/index.php/formation/formation-professionnelle/les-batailles-d-evacuation







الاثنين، 20 نوفمبر 2017

20 novembre 1954 : Bataille sidi AICH /Lazhar CHRAITI chef de la résistance الازهر الشرايطي زعيم الفلاقة

Lazhar Chraïti né le 16 mars 1919 à Baten El Aïech et exécuté le 24 janvier 1963, est un fellaga tunisien. Mineur, parti en 1947 pour combattre en Palestine, il revient en Tunisie trois ans plus tard et participe activement à la lutte armée menée contre les autorités du protectorat français (1952-1954), devenant le chef des fellagas. Il est exécuté à la suite d'un complot avorté mené contre le président Habib Bourguiba, en 1962. wikipedia Le dénommé le "lion d'Orbat" dans une bataille héroique et décisive "la 2ème bataille de Sidi Aich" (21-22 et 23 Novembre 1954) et malgré la disproportion des forces, a causé à l'ennemi des dégâts énormes en matériels et victimes. La France a bien compris la leçon rien ne peut arrêter un peuple engagé pour une cause juste. Tous ces combattants portaient en eux l'arme fatale et destructive contre l'occupant à savoir leur amour sans limite pour leur Patrie https://www.facebook.com/CentreMediterraneenLazharChraiti/posts/727524540695781









الخميس، 19 أكتوبر 2017