السبت، 23 أبريل 2016

SYNAGOGUE DE LA MARSA

La synagogue Keren Yéchoua de La Marsa, parfois orthographiée Keren Ichoua, est une synagogue tunisienne située au numéro 4 de la rue Slim Haider à La Marsa (banlieue de Tunis). Inaugurée en 1927, sa première pierre est posée en 1925. Elle est l'œuvre d'une association communautaire juive de La Marsa fondée en 1923 et nommée Keren Yéchoua d'après le nom du philanthrope Yéchoua Sauveur Kisraoui qui offrit le terrain à l'association. Cette synagogue a, au cours de son histoire, vu passer des générations de Juifs tunisiens qui y ont prié, appris, fêté leurs événements familiaux (mariage, Bar Mitzvah, etc.) alors que de nombreuses personnalités et rabbins l'ont fréquentée ou simplement visitée. Elle constitue donc l'un des joyaux du patrimoine juif tunisien et reste hautement respectée par la population musulmane. Cette synagogue, qui sert de lieu de culte à la communauté juive de La Marsa, comporte également une école talmudique kouttab. Depuis le début des années 1980, du fait de la baisse du nombre de fidèles, la synagogue ne dispense des offices que durant la période estivale (juillet-août), période lors de laquelle de nombreux touristes juifs viennent passer leurs vacances dans les hôtels de La Marsa et Gammarth. Isaac Kalfon en est le ministre-officiant et responsable. WIKIPEDIA







Musée national d’art islamique de Raqqada/ LES MANUSCRITS























ARIANA / ANCIEN CENTRE DE FORMATION PROFESSIONNNELLE EN MACHINISME AGRICOLE






CARREAUX DE CERAMIQUE OULED CHEMLA






















الجمعة، 22 أبريل 2016

BEN GARDANE / HABITS TRADITIONNELS FEMININS












ANCIEN INSTITUT DES HAUTES ETUDES DE TUNIS, à l'origine de l'université tunisienne

L’Institut des Hautes Études de Tunis ouvre ses portes en octobre 1945 dans les locaux 8, rue de Rome, sous la présidence de William Marçais. Rattaché à l’Académie de Paris et malgré des dimensions modestes, l’IHET fait office d’université locale. Aspirant les formations des l’École Supérieure de Langue et littérature arabe et du Centre d’Etudes juridiques, il les développe, crée des publications et parraine Les Cahiers de Tunisie et la Revue Tunisienne de Droit (المجلّة القانونيّة التونسيّة) à partir de 1953. Présidée par Jean Roche en 1955-56 et divisée en plusieurs sections[11], l’institution assure des formations de licence et de certificats jusqu’à 1960. http://hctc.hypotheses.org/232