الأربعاء، 12 أغسطس 2015

MUSEE DE L'ARCHITECTURE TRADITIONNELLE / LA CASBAH DE SFAX

















- La Kasbah de SFAX: située au coin Sud Ouest de la muraille de la Médina, elle a été un fort (Ribat), depuis la création de la ville. Elle est devenue la résidence du gouverneur et de l’armée à la fin du XVI siècle et maintenant elle est le lieu du musée d’architecture traditionnelle. La Kasbah se situe à l’angle sud ouest des remparts de la ville et en est la plus importante citadelle. La mer venait jadis mourir sur sa façade sud avant qu’elle ne refluât devant les travaux de remblai. Elle fut le siège des gouverneurs de la ville. Le dernier en date, Abou Abdallah al Mokni fit de Sfax à la fin du règne hafside une ville indépendante du pouvoir central. A l’époque des pachas ottomans puis celle des beys mouradites, la Casbah arbitra l’armée turque et son chef d’agha. Pendant le règne des husseinites qui acquièrent une certaine autonomie vis-à-vis au pouvoir ottoman et installèrent une administration civile, l’agha vit son autorité battue en brèche par celle du gouverneur « Caid). Au 19ème siècle la casbah perdit une partie de son potentiel défensif. A l’époque coloniale, elle devient le siège de la gendarmerie française puis une fois l’indépendance conquise, celui de la garde nationale tunisienne. La casbah s’appelait aussi hissar, ce qui a donné le gardien le même nom. Le hissar signifie la citadelle et peut dire aussi la prison qu’elle abritait. Celle de la casbah est redoutée par les soldats et par le peuple. La gendarmerie française y emprisonnait aussi et torturait patriotes et résistants. L’architecture de la casbah s’est sans doute resseinte des changements de sa fonction. A ‘époque coloniale, d’autres changement l’affectèrent. Mais sa restauration a permis d’éliminer les parties adventices et de mettre en relief son caractère arabo-musulman. Aujourd’hui elle est devenue une musée de l’architecture traditionnelle.

DAR EL KAMILIA / RESIDENCE DE L'AMBASSADEUR DE FRANCE / LA MARSA











Dar El Kamila est un palais tunisien situé à La Marsa et qui abrite la résidence de l'ambassadeur de France en Tunisie. La résidence d'été construite en 18001 est d'abord appelée Borj Monastiri2, du nom d'un notable issu d'une famille bourgeoise tunisoise, le caïd Ahmed al-Munastiri, qui y apporte des aménagements importants pour ses visites estivales. Cette famille d'origine turque, aujourd'hui éteinte et originaire de la ville de Monastir en Turquie, s'est installée à Tunis au début du règne des Husseinites. Elle a fourni quelques riches négociants de chéchias avant leur intégration à la cour beylicale : trois mariages princiers viennent consacrer la mainmise de cette famille sur le sérail du bey entre 1822 et 1837, date de la mort du caïd Ahmed. Le Borj Monastiri lui est offert par son beau-père, le souverain Mahmoud Bey, vers 18223. Après avoir été occupée par des princes, dignitaires et notables de Tunis, cette maison de plaisance est attribuée en 1857 par les autorités beylicales au consul de France, Léon Roches, qui la rebaptise Dar El Kamila, un nom qui évoque la perfection1. Elle devient la résidence de l'ambassadeur de France en Tunisie après l'indépendance du pays. Ce palais est d'une très grande importance architecturale

السبت، 8 أغسطس 2015

MUSEE DE ZARZIS







Musee zarzis un fabuleux héritage sous forme de legs historique et archéologique et de savoir faire exposés dans ce musée aménagé dans l’ancienne église Notre Dame de la Garde, édifiée au début du XXe siècle. Les collections qui sont exposées dans ce musée présentent au public des objets provenant de fouilles effectuées dans les différents sites archéologiques de la presque île de Zarzis et qui remontent aux différentes civilisations qui se sont succédées en terre tunisienne. Dans une deuxième partie, le visiteur fait connaissance avec le genre de vie des Akkaras (la population de la presqu’île) dans leurs rapports ancestraux avec la terre, avec la mer et …avec les autres, à travers le commerce. Tunisie co

PALAIS ESSAADA / MUNICIPALITE DE LA MARSA











Le palais Essaâda est un palais tunisien situé à La Marsa et qui abrite aujourd'hui le siège de la municipalité. Il est construit par le souverain Naceur Bey à l'intention de son épouse Lella Kmar1, une odalisque circassienne née en 1862 et ayant épousé déjà deux beys avant lui, Sadok Bey et Ali III Bey. L'architecture et l'ornementation sont un mélange de styles hispano-mauresque, italien et français2. À la mort de Naceur Bey, le palais reste la propriété de Lella Kmar, qui s'en occupe grâce à l'héritage que lui a laissé son époux. Comme elle n'a jamais eu d'enfants, elle offre tous ses biens dont le palais au Cheikh El Médina, Chedly Haïder, et à son épouse, qui deviennent propriétaires en 19421, au décès de Lella Kmar. En 1953, le couple le cède à l'État tunisien car ils ne peuvent plus s'en occuper et le préserver. Il devient donc un palais pour les dignitaires étrangers2. Le 20 octobre 1956, le souverain Lamine Bey y reçoit le roi du Maroc Mohammed V. Lors de la proclamation de la République en 1957, le président Habib Bourguiba s'installe dans ce palais et l'agrandit sur une partie des décombres du palais Dar El Tej, un ancien palais beylical2. Lorsque Bourguiba s'installe dans le nouveau palais présidentiel de Carthage, le palais redevient une résidence d'hôtes et accueille notamment Élisabeth II2. La municipalité de La Marsa s'y installe par la suite et, le 30 juillet 2002, le palais devient un monument classé

DAR EL MESTIRI / CENTRE NATIONAL DE TRADUCTION /TUNIS









LE THEATRE MUNICIPAL DE SOUSSE