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الاثنين، 20 نوفمبر 2017
20 novembre 1954 : Bataille sidi AICH /Lazhar CHRAITI chef de la résistance الازهر الشرايطي زعيم الفلاقة
الاثنين، 13 نوفمبر 2017
Bataille de JBAL BARGOU / 13 NOVEMBRE 1954 معركة جبل برقو ضد المستعمر
C’était le 13 novembre
1954,
l’armée française
regroupant quelque 18.000 soldats venait
d’encercler les
lieux.Objectif :
éliminer définitivement les
résistants, quelques
centaines mal équipées qui venaient
d’enlever puis de tuer cinq
ou six soldats français dont
le fils
d’un général.
Ce jour-là, le brouillard et la neige se sont ralliés aux
patriotes. Résultat : 18
martyrs du côté tunisien et
des dizaines de morts du
côté
français.
https://www.facebook.com/ainboussadia/posts/10152475575215107
الثلاثاء، 7 نوفمبر 2017
الأحد، 15 أكتوبر 2017
الأحد، 1 أكتوبر 2017
ALI BEN AMMAR ET LA RESISTANCE A L'OCCUPATION FRANCAISE EN 1881 مقاومة الاحتلال الفرنسي في الشمال التونسي
Leader de la tribu des Ouled Ayar près de Makthar, Ali Ben Ammar est en prison lors de la première expédition. Il soudoie ses geôliers pour être libéré et rejoint sa tribu début août. Son charisme et son autorité lui permettent de réunir autour de lui jusqu’à 5 000 combattants venus de toutes les tribus49.
Il décide alors d’isoler la garnison française du Kef en envoyant un contingent de 1 600 hommes couper la route entre Tunis et Le Kef. Dans le même temps, il assiège l’armée tunisienne, commandée par Ali Bey, qui campe à Testour pour garder la voie ferrée. Il espère ainsi rallier à sa cause les soldats tunisiens dont beaucoup sont tentés par la désertion pour rejoindre l’insurrection. Mais ses attaques des 26 et 27 septembre sont repoussées. Il décide alors de s’en prendre au chemin de fer50.
Le 30 septembre, la gare d’Oued Zarga est attaquée par les insurgés. Neuf employés européens sont massacrés : un Maltais, six Italiens et deux Français. La ligne est coupée et les renforts militaires sont assiégés lorsque le train qui les amène déraille. Ils doivent évacuer à pied. Il faut plusieurs jours pour reprendre possession de la voie ferrée51.
Le 7 octobre, après plusieurs assauts infructueux, les troupes de Ben Ammar sont mises en échec par l’armée d’Ali Bey qui contre-attaque, appuyée par un détachement de soldats français. Le camp de Ben Ammar est incendié et ses troupes se dispersent52.
Le 20 octobre, une colonne militaire partie du Kef et commandée par le colonel La Roque affronte les combattants de Ben Ammar dans le défilé du Khanguet El Gdim, à 18 kilomètres du Kef. Les Tunisiens sont battus et laissent plusieurs dizaines de morts sur le terrain53.
Les 21 et 22 octobre, les deux armées se retrouvent face à face à Bordj Messaoudi. La défaite est à nouveau écrasante : on dénombre 200 morts tunisiens54.
Le 20 novembre, trois colonnes militaires (La Roque, D’Aubigny et Philebert) convergent vers le territoire des Ouled Ayar. Ben Ammar parvient à fuir jusqu’en Tripolitaine. Les membres de sa tribu qui sont restés sur place voient leurs biens razziés et leurs combattants exécutés. L’insurrection dans le Nord est dès lors définitivement matée
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