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الاثنين، 20 نوفمبر 2017

20 novembre 1954 : Bataille sidi AICH /Lazhar CHRAITI chef de la résistance الازهر الشرايطي زعيم الفلاقة

Lazhar Chraïti né le 16 mars 1919 à Baten El Aïech et exécuté le 24 janvier 1963, est un fellaga tunisien. Mineur, parti en 1947 pour combattre en Palestine, il revient en Tunisie trois ans plus tard et participe activement à la lutte armée menée contre les autorités du protectorat français (1952-1954), devenant le chef des fellagas. Il est exécuté à la suite d'un complot avorté mené contre le président Habib Bourguiba, en 1962. wikipedia Le dénommé le "lion d'Orbat" dans une bataille héroique et décisive "la 2ème bataille de Sidi Aich" (21-22 et 23 Novembre 1954) et malgré la disproportion des forces, a causé à l'ennemi des dégâts énormes en matériels et victimes. La France a bien compris la leçon rien ne peut arrêter un peuple engagé pour une cause juste. Tous ces combattants portaient en eux l'arme fatale et destructive contre l'occupant à savoir leur amour sans limite pour leur Patrie https://www.facebook.com/CentreMediterraneenLazharChraiti/posts/727524540695781









الاثنين، 13 نوفمبر 2017

Bataille de JBAL BARGOU / 13 NOVEMBRE 1954 معركة جبل برقو ضد المستعمر

C’était le 13 novembre 1954, l’armée française regroupant quelque 18.000 soldats venait d’encercler les lieux.Objectif : éliminer définitivement les résistants, quelques centaines mal équipées qui venaient d’enlever puis de tuer cinq ou six soldats français dont le fils d’un général. Ce jour-là, le brouillard et la neige se sont ralliés aux patriotes. Résultat : 18 martyrs du côté tunisien et des dizaines de morts du côté français. https://www.facebook.com/ainboussadia/posts/10152475575215107














الأحد، 1 أكتوبر 2017

ALI BEN AMMAR ET LA RESISTANCE A L'OCCUPATION FRANCAISE EN 1881 مقاومة الاحتلال الفرنسي في الشمال التونسي

Leader de la tribu des Ouled Ayar près de Makthar, Ali Ben Ammar est en prison lors de la première expédition. Il soudoie ses geôliers pour être libéré et rejoint sa tribu début août. Son charisme et son autorité lui permettent de réunir autour de lui jusqu’à 5 000 combattants venus de toutes les tribus49. Il décide alors d’isoler la garnison française du Kef en envoyant un contingent de 1 600 hommes couper la route entre Tunis et Le Kef. Dans le même temps, il assiège l’armée tunisienne, commandée par Ali Bey, qui campe à Testour pour garder la voie ferrée. Il espère ainsi rallier à sa cause les soldats tunisiens dont beaucoup sont tentés par la désertion pour rejoindre l’insurrection. Mais ses attaques des 26 et 27 septembre sont repoussées. Il décide alors de s’en prendre au chemin de fer50. Le 30 septembre, la gare d’Oued Zarga est attaquée par les insurgés. Neuf employés européens sont massacrés : un Maltais, six Italiens et deux Français. La ligne est coupée et les renforts militaires sont assiégés lorsque le train qui les amène déraille. Ils doivent évacuer à pied. Il faut plusieurs jours pour reprendre possession de la voie ferrée51. Le 7 octobre, après plusieurs assauts infructueux, les troupes de Ben Ammar sont mises en échec par l’armée d’Ali Bey qui contre-attaque, appuyée par un détachement de soldats français. Le camp de Ben Ammar est incendié et ses troupes se dispersent52. Le 20 octobre, une colonne militaire partie du Kef et commandée par le colonel La Roque affronte les combattants de Ben Ammar dans le défilé du Khanguet El Gdim, à 18 kilomètres du Kef. Les Tunisiens sont battus et laissent plusieurs dizaines de morts sur le terrain53. Les 21 et 22 octobre, les deux armées se retrouvent face à face à Bordj Messaoudi. La défaite est à nouveau écrasante : on dénombre 200 morts tunisiens54. Le 20 novembre, trois colonnes militaires (La Roque, D’Aubigny et Philebert) convergent vers le territoire des Ouled Ayar. Ben Ammar parvient à fuir jusqu’en Tripolitaine. Les membres de sa tribu qui sont restés sur place voient leurs biens razziés et leurs combattants exécutés. L’insurrection dans le Nord est dès lors définitivement matée