En assassinant Hedi Chaker le 13 septembre 1953, les suppôts du colonialisme voulaient priver le mouvement national de l’un de ses illustres dirigeants qui avait connu la prison en Tunisie et à l’étranger et bravé l’oppression . En arrachant Hédi Chaker de son lit de résidence d’office à Nabeul, terrorisant sa femme et ses enfants, l’entrainant dans un champ au bord de la route menant à Tunis et criblant son corps de balles, ses assassins, nourris de haine, avait donné libre cours à leur sauvagerie. Rattrapés par la justice, au lendemain de l’indépendance, ils seront lourdement sanctionnés (peine de mort pour le principal accusé et longues peines de prison pour ses complices).
http://www.leaders.com.tn/article/17936-revelations-la-derniere-lettre-adressee-par-hedi-chaker-avant-son-assassinat-a-son-fils-m-hammed-video
http://www.leaders.com.tn/article/17944-des-turpitudes-posthumes-du-martyr-hedi-chaker
http://www.leaders.com.tn/article/2958-hedi-chaker-cet-homme-devait-mourir
http://www.samibenabdallah.info/2012/04/17/livre-hedi-chaker-des-souvenirs-politiques/