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الجمعة، 16 مارس 2018

Mohamed SAYAH décédé le jeudi 15 mars 2018 وفاة الوزير البورقيبي محمد الصياح

Mohamed Sayah , né le 31 décembre 1933 à Bouhjar (Sahel tunisien) et mort le 15 mars 2018 dans la même ville est un homme politique tunisien. Historiographe du président Habib Bourguiba, il en fut aussi le principal bras droit. Il est connu pour être l'architecte de la milice du Parti socialiste destourien (PSD) héritée par le Rassemblement constitutionnel démocratique Mohamed Sayah entame sa carrière au PSD (Parti socialiste destourien ) en devenant secrétaire général de la Jeunesse destourienne puis directeur-adjoint du l'administration centrale du parti. Il est désigné membre du comité central (baptisé bureau politique élargi à l'époque) du PSD lors du congrès de Bizerte en 1964. Le 11 novembre de la même année, il devient directeur du PSD, poste qu'il occupe jusqu'au 27 septembre 1969. C'est pendant cette période, plus précisément en 1965, qu'il initie la milice estudiantine qui guette les étudiants tunisiens en France ; cette structure est le prélude de la milice du parti qu'il instaure plus tard. Il retrouve sa position à la tête de l'administration centrale du PSD entre le 5 juin 1973 et le 25 avril 1980. Il est par ailleurs membre de son bureau politique de 1964 à 1987. Sayah prend la tête d'une série de ministères jusqu'à l'arrivée au pouvoir du président Zine el-Abidine Ben Ali, : ministère de l'Information (7 novembre 1969 au 12 juin 1970) ; ministère des Travaux publics (29 octobre 1971 au 5 juin 1973) ; ministère de la Jeunesse et des Sports (5 juin au 30 novembre 1973) ; ministère délégué auprès du Premier ministre (30 novembre 1973 au 25 avril 1980) ; ministère de l'Habitat (25 avril 1980 au 25 novembre 1983) ; ministère de l'Équipement (25 avril 1984 au 16 mai 1987) ; ministère de l'Éducation (16 mai au 7 novembre 1987). wikipedia









السبت، 3 مارس 2018

1 mars 1924: Le combattant nationaliste Mohamed DAGHBAJI fusillé par la France ذكرى استشهاد المناضل محمد الدغباجي

Mohamed Daghbaji , né en 1885 à Wadi Ezatoun et décédé le 1er mars 1924 à El Hamma, est un fellaga tunisien, combattant de la résistance contre l'occupation française, et l'une des premières figures du mouvement national. Né dans un village situé à une trentaine de kilomètres d'El Hamma, dans l'actuel gouvernorat de Gabès, il suit un service militaire dans l'armée française entre 1907 et 1910. Confronté au chômage, il choisit de réintégrer l'armée en 1915 mais déserte durant l'année suivante avec certains de ses camarades. Il participe alors à des attaques menées contre des camps militaires français dans le sud du pays. Les autorités du protectorat décident donc de les traquer. Daghbaji mène notamment la révolte du 2 janvier 1920 avant de rejoindre un groupe de militants en Libye qui mène plusieurs operations en Tunisie. Les autorités françaises le font juger par contumace par une cour martiale, le 27 avril 1921, et condamné à la peine de mort. Il est par la suite arrêté par les forces d'occupation italiennes, ramené en Tunisie et fusillé sur la place du souk de El Hamma le 1er mars 1924 à l'âge de 39 ans. wikipedia








الخميس، 25 يناير 2018

ذكرى وفاة الهادي نويرة Commémoration du décès de Hedi Nouira le 25 janvier 1993

Hédi Nouira, né le 5 avril 1911 à Monastir et décédé le 25 janvier 1993 à La Marsa, est un homme politique tunisien. Issu d'une famille aisée, il suit ses études dans sa ville natale, ses études secondaires à Sousse , passe son baccalauréat à Paris en 1931 ou il obtient une licence en droit et commence son parcours de militant en adhérant à l'Association des étudiants musulmans de l'Afrique du Nord En rentrant en Tunisie en 1938, il continue son engagement politique et se fait emprisonner à la prison civile de Tunis, à celle de Téboursouk, au Fort Saint-Nicolas de Marseille, avec Bourguiba et d'autres militants du Néo-Destour, et à la prison Montluc à Lyon. Avant de rentrer en Tunisie en février 1943, il est placé en résidence surveillée à Rome C'est à partir de 1949 que Nouira consolide son statut à l'étranger en devenant l'interlocuteur privilégié de la plupart des membres du Parti socialiste français et du Mouvement républicain populaire. Il exploite ainsi ses relations pour sensibiliser davantage ces partis à la cause tunisienne et pour présenter les points de vue du Néo-Destour. Mais en refusant de prendre part au gouvernement de Slaheddine Baccouche, en avril 1952, il est exilé dans le sud tunisien puis assigné à résidence en 1953. Cette affaire marque son parcours. Il rédigera nombre d'articles pendant les quatre années suivantes, principalement dans Mission, un hebdomadaire qu'il crée3 et dont il devient l'éditorialiste attitré Libéré, il devient, en août 1954, ministre du Commerce dans le gouvernement de Tahar Ben Ammar avant de se voir confier le nouveau ministère des Finances dans le cabinet Bourguiba. Bourguiba lui confie la mission de créer et structurer la Banque centrale de Tunisie qu'il dirige de sa fondation en 1958 à 1970. Il fait partie du comité exécutif du Néo-Destour durant cette période En 1970, Bourguiba juge que le gouvernement de Bahi Ladgham est statique et conciliant par rapport à la politique du ministre Ahmed Ben Salah. Voulant donner un nouvel élan pour accélérer la mutation du pays et le sortir de la doctrine socialiste et panarabe de Ben Salah, très inspiré par Gamal Abdel Nasser, Bourguiba nomme Nouira Premier ministre le 2 novembre et le charge de réformer l'économie nationale. Durant dix ans, Nouira reste en poste, renforcé par l'embellie économique et le progrès social, bien que de grandes crises secouent la Tunisie : le congrès du Néo-Destour à Monastir en 1971, la crise au sein de l'université et les émeutes du 26 janvier 1978. Le 23 avril 1980, victime d'une attaque cérébrale ayant entraîné une hémiplégie, Nouira quitte définitivement la vie politique peu après l'avortement du projet d'union entre la Tunisie et la Libye qui a été, en quelque sorte, à l'origine de l'attaque d'un commando tunisien entraîné par la Libye sur la ville de Gafsa. Mohamed Mzali lui succède wikipedia
















السبت، 23 ديسمبر 2017

Commemoration du décès de MAHMOUD EL MATERI le 23 Décembre 1972

Mahmoud El Materi , né en décembre 1897 à Tunis et mort le 13 décembre 1972 à Tunis, est un nationaliste, médecin et homme politique tunisien. Il est l'un des fondateurs du Néo-Destour dont il est le premier président. wikipedia








Manifestation du 8 avril 1938

membre du gouvernement Chenik

membre du second gouvernement chenik


Déporté avec quelques membres du gouvernement

à l'OMS


Commémoration du décès de HABIB THAMEUR le 22 Décembre 1949 ذكرى وفاة الدكتور الحبيب ثامر

Habib Thameur , né le 4 avril 1909 à Tunis et mort dans un accident d'avion le 22 décembre 1949 à Lahore, est un homme politique et médecin tunisien. Né dans une famille de la petite bourgeoisie tunisoise, il effectue ses études de médecine à Toulouse et devient en 1936 président de la cellule du Néo-Destour, fondée à Paris par Hédi Nouira1. Avec les arrestations des dirigeants nationalistes à la suite des événements du 9 avril 1938, il est chargé de la direction secrète du Néo-Destour. Revenu à Tunis à la fin 1938, il encourage les étudiants musulmans de la capitale à se structurer et à publier des journaux1. Il devient président par intérim du Néo-Destour le 8 novembre 1939 et conserve ce poste jusqu'au congrès du 17 octobre 1948. Habib Bourguiba porté à la présidence du mouvement, Thameur en est désigné directeur. Envoyé au Pakistan pour participer au premier congrès économique islamique tenu à Karachi, il y meurt dans un accident d'avion alors qu'il quittait le pays en décembre 1949. Les cendres sont rapatriées et inhumées au cimetière du Djellaz de Tunis le 9 avril 1968. Un jardin, une avenue et un hôpital de Tunis ainsi que plusieurs avenues dans le pays portent désormais son nom. wikipedia