‏إظهار الرسائل ذات التسميات PERSONNALITES POLITIQUES. إظهار كافة الرسائل
‏إظهار الرسائل ذات التسميات PERSONNALITES POLITIQUES. إظهار كافة الرسائل

السبت، 14 أكتوبر 2017

Commémoration du 110è Anniversaire de SALAH BEN YOUSSEF 11octobre 1907 ذكرى ميلاد الزعيم صالح بن يوسف

Salah Ben Youssef, né le 11 octobre 1907 à Maghraoua (Djerba) et assassiné le 12 août 1961 à Francfort-sur-le-Main (Allemagne), est un homme politique tunisien et l'un des principaux chefs de file du mouvement national tunisien. Il commence sa carrière politique en tant que secrétaire général du Néo-Destour, poste où il joue un rôle de premier plan pendant l'exil de Bourguiba. En août 1950, il est désigné ministre de la Justice dans le gouvernement de M'hamed Chenik. Chargé de porter à l'ONU, réunie à Paris, une plainte tunisienne en mars 1952, il échappe de peu à l'arrestation et à la déportation. Alors qu'il voyage à travers le monde pendant plus de trois ans — où il est reçu par Gamal Abdel Nasser, Jawaharlal Nehru ou encore Zhou Enlai —, les accords avec la France sur l'autonomie interne sont signés. wikipedia Ce fait accompli sans lui et qu'il prend pour « un pas en arrière et une entrave » l'ulcère. L'évacuation des troupes françaises de l'ensemble du territoire tunisien est pour lui un préalable indiscutable à une véritable indépendance nationale. De lieutenant et ami de Bourguiba, rentré au pays le 1er juin 1955, il devient son ennemi irréductible2. Selon Ben Youssef, son adversaire est coupable de pratiquer une « politique de reniement et de trahison » à l'égard du peuple tunisien et de la révolution algérienne. Rentré pour sa part en Tunisie depuis Le Caire le 13 septembre, il met en œuvre un plan d'agitation dans tout le pays.


AVEC BOURGUIBA


Avec FARHAT HACHED

AVEC BEHI LADGHAM

AVEC TAHAR BEN AMMAR



RETOUR D'EXIL



الخميس، 7 سبتمبر 2017

LE GOUVERNEMENT DE NOUIRA et consolidation du monopartisme / OCTOBRE 1971 حكومة نويرة واستقواء الاحادية الحزبية

Le gouvernement Hédi Nouira est le quatrième gouvernement tunisien formé après l'indépendance et le deuxième formé après la restauration du poste de Premier ministre. Son chef, Hédi Nouira, est nommé Premier ministre par intérim le 9 octobre 1970, en raison de l'absence de Bahi Ladgham retenu au Caire depuis le 21 septembre par les tentatives de conciliation relatives à la crise de Septembre noir. Il assure sa fonction jusqu'au 1er mars 1980, date à laquelle Mohamed Mzali est nommé comme coordinateur de l'action gouvernementale, jusqu'à sa nomination comme Premier ministre le 23 avril de la même année Le 19 juin 1971, Bourguiba rentre à Tunis après six mois de soins à l'étranger. Son arrivée fait espérer un moment que les contradictions au sein du pouvoir vont s'apaiser mais l'affrontement consécutif aux incertitudes sur sa santé reprend de plus belle. C'est pourquoi, sur l'insistance du ministre de l'intérieur Ahmed Mestiri, le président se résout, le 24 juillet, à annoncer la tenue en octobre d'un congrès à Monastir tout en avertissant : « Tout dernièrement, ces calculs ont pris un tour exacerbé au sujet de ma succession. Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'ils sont bien prématurés »3. Comme pour prolonger l'avertissement, Mestiri est piégé par la nomination, le 7 septembre, de gouverneurs sans son aval. Il démissionne alors du gouvernement. Le 4 septembre 1971, il est déchargé de ses fonctions de ministre de l'Intérieur par décret présidentiel à la suite de son opposition à la nomination arbitraire d'un nouveau directeur de la sûreté nationale et de deux gouverneurs C'est donc dans un climat tendu que le congrès s'ouvre le 11 octobre. La presse du PSD ainsi que certains quotidiens indépendants s'engagent dans une campagne virulente contre Mestiri, assorties d'attaques personnelles et de menaces. Le 22 octobre, Bourguiba réunit le comité central au palais de Carthage et désigne une liste de 22 membres (d'où sont exclus Ladgham et Mestiri qui avaient obtenu le plus grand nombre de voix au congrès) parmi lesquels doivent être élus les membres du bureau politique WIKIPEDIA














الجمعة، 19 مايو 2017

CEREMONIE D'INTRONISATION DE MOHAMED LAMINE BEY LE 15 MAI 1943

Mohamed el-Amine Bey, né le 4 septembre 18811 à Carthage et décédé le 30 septembre 1962 à Tunis2, est le dernier bey de la dynastie des Husseinites qui a régné sur la Tunisie de 1705 à 1957. Intronisé le 15 mai 1943 dans des conditions contestables suite à la destitution de son prédécesseur Moncef Bey par le général Henri Giraud en 1943, ce n’est qu’en 1948 que sa légitimité est reconnue par le peuple tunisien. Il se rapproche alors du mouvement nationaliste actif contre le protectorat français de Tunisie et en devient son représentant au plus haut niveau de l’État, n’hésitant pas à braver les résidents généraux qui se succèdent à Tunis. Marginalisé par les représentants du Néo-Destour qui lui reprochent d’avoir accepté des réformes en 1954 alors que de nombreux militants nationalistes dont Habib Bourguiba sont toujours emprisonnés, il ne prend pas part aux négociations pour l’autonomie interne qu’il ratifie en 1955, ni à celles pour l’indépendance du pays obtenue en 1956. Après une phase d’hésitations où la mise en place d’une monarchie constitutionnelle est envisagée, le nouveau gouvernement tunisien décide d’instaurer la République le 25 juillet 1957. Lamine Bey est alors expulsé de son palais ainsi que toute sa famille. Leurs biens sont saisis et plusieurs membres incarcérés. Il finit sa vie dans un appartement exigu. wikipedia














الأربعاء، 17 مايو 2017

FUNERAILLES DE MOHAMED EL HEDI BEY DECEDE LE 11 MAI 1906

Muhammad El Hadi Bey , né le 24 juin 1855 au palais du Bardo et décédé le 11 mai 1906 au palais de Dermech à Carthage, est bey de Tunis de la dynastie des Husseinites de 1902 à sa mort. Investi comme prince héritier le 3 décembre 1898, il succède à son père, Ali III, le 11 juin 19021. Nommé général de division de la garde beylicale le 3 décembre 1898, il est promu au grade de maréchal le 11 juin 1902. Selon certaines sources, le souverain est très cultivé et savait très bien parler et écrire le français3. Cela ne l'empêche pas de tenir tête aux autorités coloniales, se différenciant ainsi de la souplesse dont faisait preuve son père. À la suite d'une dispute en 1904 avec le résident général de France en Tunisie Stephen Pichon, où il s'est vu refuser la révocation du grand vizir Mohammed Aziz Bouattour, il est frappé d'une congestion cérébrale et d'une paralysie de ses membres inférieurs. Il décède dans son palais de Carthage Dermech. Il est enterré au mausolée du Tourbet El Bey situé dans la médina de Tunis WIKIPEDIA