MEDINA DE TUNIS / DAR IBN ABI DHIAF

la demeure d'Ahmed Ibn Abi Dhiaf ( né à Tunis en 1804 et décédé le 29 septembre 1874). Historien et homme politique, il est l'auteur d'une chronique en plusieurs volumes sur l'histoire de la Tunisie. Sa maison-palais, est actuellement dans un état plus que lamentable. Page facebook de Lotfi Hamrouni

JAMMEL / ZAOUIA OMM EZZINE EL JAMMALIYA

« Omezzine » est une sainte qui occupe une place privilégiée dans la mémoire des habitants de « Djemmal » et des régions environnantes ainsi que des habitants de Mahdia et de Sfax qui viennent chaque jeudi en grand nombre visiter son mausolée. Originaire de Fériana (Kassérine), elle avait émigré avec sa famille d’abord à Mahdia puis à Djemmal où elle s’était définitivement établie jusqu’à sa mort survenue en 1799. A Djemmal, elle était témoin du conflit qui opposa les partisans du Bey Hussein Ben Ali (fondateur de la dynastie husseinite, 1705-1735) et ceux de Ali Pacha Bey (1735-1756). Omezzine conseilla aux gens de Djammel de garder la neutralité dans ce conflit. Compte tenu des miracles accomplis par Omezzine, celle-ci était considérée comme une reine, une « Beya » aimée et vénérée dans tout le Sahel tunisien ; sa notoriété suscita la jalousie et la colère du Bey Hammouda Pacha qui ordonna qu’elle soit ramenée chez lui enchainée pour la jeter en pâture aux fauves. Le lendemain, quand il est allé voir ce qu’il est advenu d’elle, il fut surpris de la trouver sereinement assise en compagnie des lions qui lui témoignaient une amabilité remarquable. C’est alors qu’il la gracia et fit construire pour elle le mausolée de Djammel. Comme beaucoup de saints célèbres (cf Sidi Mansour), « Omezzine » a été chantée par les visiteurs pendant la « ziara » (la visite rituelle du mausolée). Un grand nombre de chanteurs et de troupes folkloriques anciens et modernes de même que des chanteurs juifs tunisiens ont immortalisé cette chanson http://www.lesitesfaxien.net/sfax/sfax-aujourd-hui/cultures/51570-omezzine-de-djammel

PEINTURES DE MOHAMED KARRAY / SCENES DE LA VIE SFAXIENNE

Mohamed Karray est né le 21 décembre 1955 à Sfax. Il a commencé sa vocation de peintre dès 1975 ,en débutant au sein du club de peinture de la maison des jeunes de Sfax:et participe d'ailleurs cette même année à une première exposition. Elle sera suivie de beaucoup d'autres,parmi lesquelles il faut citer : -les 5 premières expositions annuelles d'arts plastiques de Sfax entre 1986 et 1990 -Elles seront suivies d'autres en 2002,2003,2004 et 2005. -Une exposition au festival de Mahares en 2002. – http://www.lesitesfaxien.net/sfax/sfax-aujourd-hui/cultures/22573-mohamed-karray-artiste-peintre

ARIANA / ROSERAIE ET ECO MUSEE DE SIDI AMOR

Sidi Amor, site écologique et touristique https://www.facebook.com/lotfi.rahmouni.336/media_set?set=a.533803310107768.1073742315.100004343108540&type=3 voir: http://www.sidi-amor.org/pages/vegetal-categorie/ecomusee/roseraie.html http://nawaat.org/portail/2014/12/26/de-la-terre-et-des-hommes-recit-dune-experience-pionniere-a-sidi-amor/ http://www.sidi-amor.org/ Le GDA Sidi Amor est une association à but non lucratif, mobilisant les riverains d'un site naturel situé dans la zone périurbaine de Tunis, autour d’un objectif communautaire et central : la valorisation des ressources naturelles et la protection de la biodiversité et de l'éco-diversité du site Lancée en 2007 à l’initiative d’un groupe d’amis et de riverains du Djebel Sidi Amor, la roseraie a été à l’origine du projet de développement durable GDA Sidi Amor. L’idée de créer une roseraie s’est imposée d’abord comme une composante incontournable du jardin médicinal, ensuite comme expression de fidélité à notre localité de l’Ariana traditionnellement réputée pour ses roses et enfin pour honorer cette fleur emblématique dont la beauté, la diversité et l’histoire méritent attention et efforts de préservation. Intégrer les roses dans la composition traditionnelle du jardin médicinal, c’est remettre en valeur cette famille thérapeutique oubliée par la pharmacopée moderne. le site dispose de trois bâtiments écologiques : une maison en bottes de paille, une maison en briques de terre crue et une maison en parpaings en poudre de gypse. Tout cela réalisé à l’occasion de chantiers participatifs qui ont réuni des professionnels (ingénieurs, architectes), mais aussi des étudiants et des jeunes scouts. L’Ecomusée représente la somme d’expérimentations agro-horticoles du GDA dans la valorisation botanique et paysagère du site.

SOUSSE / MOSAIQUES EN PERIL A LA MAISON DES MASQUES

cf. page facebook MONTADA ECOLE PRIMAIRE RUE DR. GRAULE / PORTE NORD SOUSSE