Mohamed El Kassab ,né le 4 juin 1926 à Tunis et mort le 25 décembre 1986 à Paris, est un médecin et chirurgien orthopédiste tunisien.* Après des études de médecine à Paris , il retourne définitivement en Tunisie en 1964 et ,crée le premier service de chirurgie orthopédique et traumatologique du pays au sein de l'hôpital La Rabta En 1971, il fonde le Centre national d'orthopédie de Ksar Saïd, un établissement de chirurgie et de recherche orthopédique doté d’une unité moderne d’appareillage et de rééducation. Première institution de son genre en Afrique, le centre est utile sous le patronage du professeur El Kassab pour le rayonnement du savoir orthopédique en Tunisie et, plus tard, pour la création des premiers services d'orthopédie dans les plus grandes villes du pays avec l'aide de plusieurs de ses collègues. Il est désormais considéré comme une institution de référence en chirurgie et recherche orthopédique source WIKIPEDIA
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الأربعاء، 6 مايو 2020
الأحد، 3 مايو 2020
Ludovic Blaizot biologiste chercheur à l'Institut Pasteur deTunis
Le Docteur Ludovic Blaizot (1882-1954) médecin, biologiste, chercheur à l’Institut Pasteur En 1910 il fut chargé d’une mission de recherche à l’Institut Pasteur de Tunis sous l’égide du grand biologiste Charles Nicolle. A l’Institut Pasteur de Tunis Ludovic Blaizot apporta à l’équipe tunisienne son jeune enthousiasme, son désir d’étudier la parasitologie locale et sa connaissance des techniques nouvelles notamment celle du microscope à fond noir. Il aborda, en parasitologue, l’étude des spirochètes des poules : Il nota que la spirochètose des poules de race nord-africaine évolue avec des rechutes à la manière des fièvres récurrentes humaines. Il montra la façon dont ces fièvres récurrentes humaines sont transmises par des poux infectés par des spirochètes et il reçut, pour ces travaux, un Prix de l’Académie des Sciences de Paris. Toujours avec l’équipe de l’Institut Pasteur de Tunis, dirigée par Charles Nicolle, ils firent des recherches sur la lèpre, le virus du trachome, et la préparation d’un sérum et son application au traitement du typhus humain . De retour en Tunisie apres la guerre , il participa activement à la mise au point de vaccins stables et atoxiques pour le traitement de la blennoragie, des staphylococcies et de la coqueluche. En 1921 il effectua une mission d’enquête épidémiologique et de vaccination de la population dans le Sud-Tunisien où sévissait la peste. Enfin, il fait œuvre de précurseur en signalant que les bactéries traitées par le formol perdent leur toxicité tout en conservant leur pouvoir antigénique. L’Institut Pasteur de Tunis lui doit beaucoup pour l’organisation et le perfectionnement technique des services d’analyses microbiologiques et sérologiques. C’est aussi à Tunis qu’il rencontra Gabrielle Levillain. Cette jeune femme (veuve) travaillait comme secrétaire de Charles Nicolle à l’Institut Pasteur. Ludovic Blaizot est resté à l’Institut Pasteur de Tunis, en tant que chef de laboratoire, jusqu’en 1922. http://www.lesamisdelaigle.com/?p=1045
الخميس، 30 أبريل 2020
Constantin l'Africain ,lien médical entre l'orient et l'occident
Constantin l'Africain (né en 1020 à Carthage et mort en 1087 au Mont-Cassin en Italie est un médecin originaire de la Tunisie, devenu moine au monastère du Mont-Cassin. La première partie de sa vie se déroule en Ifriqiya, actuelle Tunisie, et la seconde en Italie du Sud, où il écrit son œuvre. Il s'agit de traductions en latin des plus grandes œuvres de la médecine arabe de l'époque ixe et xe siècles. Il inaugure ainsi la deuxième époque, la plus prestigieuse, de l'école de médecine de Salerne, et la première vague des traductions médicales arabes vers l'Occident. Ses traductions se trouvent encore dans les grandes bibliothèques européennes : en Italie, en Allemagne, en France, en Belgique, en Angleterre, etc. Elles ont servi comme manuels scolaires d'enseignement médical au Moyen Âge et jusqu'au xviie siècle. WIKIPEDIA
الاثنين، 27 أبريل 2020
Ishâq Ibn Souleyman al-Israili الطبيب اسحاق ابن سليمان الاسرائيلي
السبت، 25 أبريل 2020
Helene Sparrow ,1e femme chef de laboratoire à l'Institut Pasteur de Tunis
Hélène Sparrow (5 juin 1891 – 13 novembre 1970) est une pionnière du monde de la santé publique, une médecin et une microbiologiste polonaise naturalisée française. Elle est remarquée pour son travail sur le contrôle du typhus en Pologne après la Première Guerre mondiale, puis menant des programmes nationaux de vaccination contre la diphtérie, la scarlatine, la fièvre pourprée et la fièvre récurrente en Pologne et en Tunisie dans les années 19601. En 1925, l'Institut Pasteur finance ses recherches sur l'épidémie de typhus en Tunisie. Elle passe un certain temps au cours des années 1927-28 à l'Institut Pasteur de Tunis, et fait des essais de vaccination à l'aide d'injections répétées de petites doses d'une souche atténuée de la maladie. Source Wikipedia
الاثنين، 20 أبريل 2020
De l'Hopital des Contagieux , à Ernest Conseil à La Rabta
" Quand en 1911 éclata à Tunis une épidémie de choléra, c'est sous des tentes installées en hâte sur la colline dite Rabta que le Docteur Ernest Conseil abrita ses malades. Aucun bâtiment n'existait alors qui fut propre à isoler et à soigner les contagieux. Après 1911 le même emplacement fut conservé comme lazaret. Les tentes y furent remplacées par des baraques en bois. Moins inconfortables, mais encore bien primitives, ces constructions étaient difficiles à bien désinfecter; les malades y cuisaient l’été et y gelaient l'hiver. Le compartimentage insuffisant ne permettait pas toujours un isolement correct des sujets atteints de maladies diverses. C'est cependant ce qui constitua pendant près de quarante ans le lazaret de Tunis. Il s'était bien ouvert à l'Hôpital Civil Français un service de contagieux, mais les malades, même européens atteints de peste, de variole, de lèpre ou de rage continuaient à être dirigés sur la Rabta où affluaient les Tunisiens atteints des mêmes maladies et aussi de typhus, de typhoïde, de tétanos, de méningite cérébro-spinale. C'est notamment à la Rabta que furent isolés en 1929- 30 les gens de la tribu des Douiret atteints à Tunis de peste pulmonaire. Faut-il s'étonner que la gravité de ces maladies, la crainte compréhensible qu'elles inspirent au public et aussi l'inconfort du lazaret aient donné à ce dernier une réputation telle que souvent les malades doivent y être amenés de force : ils eussent préféré mourir chez eux qu'être soignés à la Rabta. C'est au cours de l'épidémie de peste pulmonaire de 1929-30, que Dr Ernest Conseil prodigua ses dernières forces avant de mourir le 05 Juin 1930, victime de l'épidémie, il légua son nom à l'Hôpital où il est enterré." En ces temps de Covid19 nous lui rendons hommage. Dr Chédlia Leila Ben Youssef
Ernest Conseil |
Rabitat Ettaam |
Vue de la colline de la Rabta |
Fort de la Rabta |
La Rabta |
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