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الجمعة، 14 أبريل 2017
LE SALON DES INDUSTRIES MUSICALES
Le ministre des affaires culturelles a inauguré mercredi après-midi le salon des industries musicales organisé au palais des congrès à Tunis dans le cadre de la quatrième édition des Journées musicales de Carthage (JMC, 8-15 avril 2017). 40 exposants de neuf pays prennent part à ce salon qui constitue l’un des principaux axes du programme des JMC en vue d’exposer et de promouvoir la production de tous les intervenants dans le domaine de la musique - écoles de musique, institutions...-, de faire connaitre les différents instruments de musique et d'offrir un cadre d'échange d'expériences et de connaissances en matière d'industries musicales modernes. Le salon vise également à rassembler les différents intervenants dans le secteur des métiers, industries et services dans le domaine de la musique en vue de faire connaitre leurs produits et les promouvoir auprès des spécialistes. Le salon vise également à créer un marché de musique qui attire des acteurs actifs dans le domaine musical de l'Afrique, de l'Asie et de pays occidentaux pour échanger les expériences ainsi que pour dynamiser la commercialisation de la musique tunisienne.
Le salon propose au public plusieurs stands à travers lesquels les visiteurs auront l’opportunité de découvrir les techniques de fabrication d’instruments de musique, les ouvrages spécialisés et les recherches dans le domaine des sciences musicales des participants tunisiens et arabes.
http://tunisie.co/article/7978/sortir/festivals-et/salon-des-industries-musicales-464111
الاثنين، 24 أكتوبر 2016
السبت، 2 يوليو 2016
Instruments de musique / LA GASBA
La Gasba (ou guesba, ou guasba) est une flûte populaire des peuples amazighs (berbères) d’Afrique du nord. Elle est jouée traditionnellement dans le nord-est du Maroc, en Tunisie et surtout en Algérie.
La gasba est utilisée en accompagnement de danseurs(euses) et/ou chanteurs(euses) pour célébrer des mariages, des baptêmes, mais aussi dans des buts thérapeutiques au cours de transes…
La formation traditionnelle se compose généralement d’une ou plusieurs flûtes, de percussions (Guellal et Bendir) et de chants.
La gasba est jouée dans différents styles de musique qui se différencient par leur rythmique, leurs mélodies et leur origine géographique : Reggada, Allaoui, Aarfa… Plusieurs artistes comme Cheikha Rimitti, Cheikh Djilali Tiarti, Cheikh Ahmed Liou, Mohammed Belkhiati, ont utilisé cette musique pour aborder des thèmes controversés ou sensibles politiquement et socialement : la lutte pour la reconnaissance du peuple amazigh ; le racisme ; l’islam strict ; la liberté ; l’amour et le sexe ; l’alcool ; les droits de la femme ; etc… ce qui valut à certains d’être censurés.
Aujourd’hui, ce style ancestral dans cette forme purement acoustique a tendance à se raréfier au profit du Raï – style directement influencé par les rythmes et mélodies traditionnelles des formations gasba, et apparu avec l’avènement des instruments électroniques.
La gasba est traditionnellement fabriquée en Canne de Provence et décorée au henné de motifs géométriques.
Elle se décline selon les régions en plusieurs types :
Au Maroc et dans l’Ouest Algérien, on trouve des gasbas à 6 trous de jeu qui se déclinent en deux types : le Tlatiya, à trois nœuds et le Khomassiya, plus longue, à cinq nœuds.
Dans l’Est Algérien et en Tunisie, on trouve un type à neuf trous. Selon le morceau joué, le flûtiste bouche plus ou moins de trous pour arriver à la gamme désirée.
http://lucasfovetflutes.fr/mes_flutes/gasba/
الجمعة، 1 يوليو 2016
LA ZOKRA dans la musique et le folklore
La zokra ou zorna est un instrument vivant de notre musique populaire, simple et sans manière. C’est un aérophone à anche double et de forme conique, tenu de face, un genre de hautbois sans clefs, de timbre criard. Son existence est attestée en Palestine dès le début du 2e siècle après J.-C.
Sa diffusion s’est étendue avec les conquêtes musulmanes, de la Turquie à Madagascar, du Maroc à l’Archipel Maldives et jusqu’à l’Extrême Orient. Il a été introduit en Europe à l’époque des dernières Croisades et s’y est développé à partir du XVe siècle. Cet instrument est utilisé dans la musique populaire tunisienne; il figure couramment dans les noces et fêtes villageoises, surtout celles qui se déroulent en plein air. On le trouve tout le temps accompagné du tbal (instrument à percussion joué avec deux baguettes). Il est également utilisé dans le patrimoine musical des confréries religieuses.
Cet instrument est composé d’un tuyau conique en bois dur, l’anche double est faite en roseau, et placé dans la partie supérieure du tube. Cette dernière comporte également un large disque en métal auquel on attache l’anche. Le tube s’évase en pavillon fait de bois. Il est percé de sept trous équidistants, qui ne sont pas tous utilisés. L’étendue peut être une octave et demi, mais la plupart des mélodies exécutées au zokra ne dépassent pas la quinte. Le jeu de zokra demande un souffle considérable. Le zakkar (joueur de zokra) le déverse peu à peu dans la bouche où se trouve enfoncée l’anche; les joues du zakkar sont exagérément gonflées.
http://www.museevirtuel.ca/edu/ViewLoitDa.do;jsessionid=C213E9F2BA20875E44552752206CD4BB?method=preview&lang=FR&id=8213
الخميس، 30 يونيو 2016
LE MEZOUED DANS LE PATRIMOINE MUSICAL TUNISIEN
Le terme Mezoued est dérivé du mot arabe mizwij qui signifie en arabe « double ». L'instrument est, en effet composé de deux parties : un chalumeau double en roseau, décoré au feu et attaché à deux pavillons en corne de veau, et deux anches simples. Le chalumeau comporte cinq ou six trous. Ces trois pièces forment la kaffa : c'est cet ensemble qui produit le son. Cette « kaffa » est liée à une caisse d'air en forme de sac, faite de peau de chèvre, qui sert à emmagasiner de l'air pour faciliter le jeu des différentes notes. Elle est appelée chekoua ou dhorf. Elle est actionnée par le bras de l'instrumentiste qui peut respirer tout en jouant un son continu et aigu. La longueur de la chekoua varie d'un instrument à l'autre.
L'instrumentiste de cette cornemuse orientale peut altérer les notes de musique en variant la quantité d'air. C'est ainsi que le joueur peut jouer différents modes musicaux.
Parmi les styles majeurs de la musique tunisienne, citons le mezoued, le stambali et le salhi qui allie mysticisme, poésie et ambiances de fête et de la transe. Parmi les célébrités de ces genres figurent Ouled Jouini, Belgacem Bouguenna, Fatma Boussaha, Hedi Habbouba, Faouzi Ben Gamra,Amina Srarfi ou encore Salah El Farzit.
D'après un article écrit par Fethi Zghonda qui ont fait suite aux entretiens avec Hassine Haj Youssef et des musiciens de Mezoued depuis 2003, on peut actuellement affirmer que le Mezzoued est arrivé en Tunisie au début du XXème siècle à travers la Lybie et était très utilisé par ceux-ci qui se réunissaient après le travail autour de la musique, la danse, la poésie (en darija) et même quelques bières...mais les travaux de chercheurs actuels apportent d'emblée de nouvelles pistes et interrogations
Hedi Habbouba ou El Hedi Habbouba est un compositeur et chanteur tunisien de mezoued qui chante en exprimant la joie de vivre. The King of Mezoued in Tunisia -
http://musique.arabe.over-blog.com/article-mezzoued-et-soufisme-tunisien-47028985.html
http://musique.arabe.over-blog.com/article-19136491.html
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