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الثلاثاء، 29 مايو 2018
الأحد، 27 مايو 2018
Le 28 mai 1928 le journaliste Zouheir AYADi fondait à Sfax le Club Tunisien CSS ميلاد النادي الرياضي الصفاقسي
Le Club sportif sfaxien , abrégé CSS, est un club de football tunisien fondé le 28 mai 1928.
Historiquement, le club est le plus populaire de la région de Sfax. Depuis 1969, l'équipe de football joue toujours les premiers rôles dans les compétitions nationales et internationales. Établis dans le stade Taïeb-Mehiri depuis sa construction, les noirs et blancs ont remporté huit championnats et quatre coupes de Tunisie, trois coupes de la confédération (2007, 2008, 2013), une coupe de la CAF (1998) et deux Ligues des champions arabes (2000, 2004).
En 2015, l'équipe de football occupe la 96e place dans le classement mondial des clubs
Durant la période où la ville de Sfax est sous le protectorat français, comme le reste du pays, les activités sportives s'organisent en fonction des communautés. Ainsi, l'équipe des chemins de fer, Sfax railway sport, abrite les joueurs de confessions juive et chrétienne, d'où l'idée de fonder une équipe de football pour les Tunisiens musulmans. Après une première tentative en 1912, dont les activités sont gelées par les Français, et une autre avortée, avec la Musulmane de Sfax constituée en 1922, le club est fondé le 28 mai 1928 sous le nom de Club tunisien par le journaliste Zouheir Ayadi avec les couleurs rouge et vert.
wikipedia
نشأة النادي التونسي “النادي الرياضي الصفاقسي”
تقدم الصحفي بجريدة لا تونيزي نوفال السيد زهير العيادي في سنة 1925 بمطلب لإعادة بعث نادي رياضي لكرة القدم بمدينة صفاقس. بعد ثلاث سنوات من المماطلة سمحت السلطات الفرنسية في 28 ماي 1928 تكوين فريق لكرة القدم بمدينة صفاقس. سمى السيد زهير العيادي مولوده الجديد “النادي التونسي” وذلك حرصا منه أن يكون هذا الفريق ملما وشاملا لكل التونسيين المسلمين الذين أقصاهم الاستعمار من الرياضة. لا ننسى أن زهير العيادي كان رئيسا لجريدة لاتونيزي نوفال التي تهتم بالشأن الوطني عامة رغم أنها تصدر بصفاقس.
تأكيدا منه على وطنيته فقد اختار السيد زهير العيادي لون بدلة فريقه الأخضر والأحمر إما للتذكير بأحدى سناجق صفاقس التي استولى عليها الاستعمار الفرنسي، – اللون الأحمر والأصفر فقد اختاره بعد في سنة 1920 السيد الشاذلي زويتن لفريقه الترجي الرياضي التونسي-، فلم يتبقى للسيد زهير العيادي إلا اللون الأخضر والأحمر، التي تلون في نفس الوقت سنجق الباي. هل يمكن القول أن زهير العيادي كان يرمز لإنتمائه إلى وطن معين هو تونس، وحاكم نصير إلى دينه وهويته هو الباي.
https://www.histoiredesfax.com/
مقر النادي |
السبت، 26 مايو 2018
الجمعة، 25 مايو 2018
25 MAI 1958: BATAILLE DE REMADA
Trois mois seulement après le bombardement de Sakiat, une formation française de trente blindés, équipés d’armes automatiques et de canons, brava l’interdiction tunisienne, quitta la base de Remada et occupa le village de Bir ‘Amir, situé à 40 km plus au Nord. Le 19 mai 1958, les forces tunisiennes, qui ont reçu des renforts venant de Tataouine, réussirent à les déloger et les pourchassèrent jusqu’à leur camp. De nouvelles troupes furent également postées tout autour, à Hashim, Oued al-Ghar et à Kambut, afin d’isoler la base et de l’empêcher de recevoir des renforts des postes avancés de Dhiba et de Bordj-le-Bœuf (actuel Bordj Bourguiba).
Le soir du 24 mai, un blindé français fut détruit en tentant de forcer un barrage tunisien à Kambut, sur l’axe reliant Remada à Bordj-le-Bœuf. Une seconde offensive coûta aux Français de lourdes pertes. Suite à l’interception de renforts venant de Dhiba, des avions décollèrent de l’Algérie voisine et pilonnèrent durant toute la journée du 25 mai les positions de l’armée tunisienne et des habitations civiles. Une famille entière fut décimée.
Les forces tunisiennes se retirèrent vers les collines avoisinantes et continuèrent à harceler leurs ennemis retranchés autour de Remada. Les affrontements, qui cessèrent le 28 mai, coûtèrent la vie à des dizaines de soldats tunisiens, parmi lesquels se trouvait un des plus grands héros de la résistance, le mythique Mosbah Jarbou‘. Les Français ne déplorèrent que cinq victimes et dix huit blessés. Six de leurs véhicules militaires furent, en outre, détruits.
Une plainte fut également déposée au Conseil de sécurité le 29 mai 1958. La commission américano-britannique de bons offices, formée par l’instance internationale, proposa le retrait des forces d’occupation de tout le territoire tunisien, à l’exception de Bizerte, à propos de laquelle elle engagea les deux parties à entamer des négociations. Par un échange de lettres (17 juin 1958), les Français s’engagèrent à retirer dans un délai de quatre mois leurs troupes, tout en promettant un accord bilatéral relatif à Bizerte. Cette offre fut acceptée par la partie tunisienne, car elle garantissait l’inviolabilité de ses frontières.
Malgré cet accord, les Français ont continué leurs agressions contre les confins occidentaux, où cent quatre-vingt-seize accrochages les opposèrent aux résistants algériens entre juin 1959 et mars 1960. Du 28 mai au 2 juin 1960, le territoire national fut intensément pilonné par l’artillerie lourde, dans le cadre de l’opération « Boxe ». Vers la même époque, le dispositif français de Bizerte fut renforcé par de nouveaux avions, des vaisseaux et des équipes de parachutistes, afin de renforcer la mainmise sur cette base stratégique et de mettre les Tunisiens devant le fait accompli.
http://www.hmp.defense.tn/index.php/formation/formation-professionnelle/les-batailles-d-evacuation
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