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الثلاثاء، 21 أبريل 2020

L'Ancien 1e Hopital français catholique Saint Louis de Tunis

La colonisation française a été précédée par les oeuvres humanitaires gratuites des missionnaires catholiques notamment par la fondation d'écoles et d'hopitaux L’hôpital Saint-Louis de Tunis est un ancien hôpital français installé par les Sœurs de Saint-Joseph-de-l'Apparition au cœur de la médina de Tunis, en Tunisie. Il est devenu de nos jours, après avoir été l'école privée catholique Saint-Joseph, la bibliothèque diocésaine de Tunis. Il se trouvait sur la rue Sidi Saber, au centre de la médina il est ouvert en octobre 1840 dans un bâtiment loué par Émilie de Vialar et dans lequel elle organise aussi une école et un dispensaire. En 1843, l’abbé François Bourgade (en), aumônier de la chapelle Saint-Louis de Carthage, crée l'hôpital destiné à la communauté française, alors que l’infirmerie Sainte-Marguerite, située sur la rue des Teinturiers (arabe : نهج الصباغين), est destinée aux Italiens et aux Maltais. En 1880, sous l’impulsion du cardinal Charles Lavigerie, il est transféré à la rue Sidi Ali Azzouz, dans une caserne sidi ameur désaffectée et plus spacieuse En 1880 la maison de Halfaouine était un hôpital italien dirigé par les sœurs franciscaines égyptiennes. En mai 1899, les sœurs en prennent possession et l’immeuble devient un orphelinat « Maghrita di SAVOIA ». Source Wikipédia

Porte de la bibliotheque Dioceseaine de Tunis ,Ancien 1e Hopital français catholique Saint Louis



L'Abbé Bourgade formateur du dispensaire , puis de l'Hopital et de l'ecole et du Collége Saint Louis et de la 1e imprimerie de Tunis





Porte de l'ancienne caserne Sidi Ameur ou a été transféré l'hopital

الاثنين، 22 يناير 2018

Cardinal Lavigerie Fondateur de la Cathédrale de Tunis (1890) الكاردينال لافيجري في تونس

Charles Martial Lavigerie, né le 31 octobre 1825 à Huire et mort le 26 novembre 1892 , est nommé archevêque d'Alger en 1867, devenant archevêque de Carthage en 1884. Le 10 novembre 1884, l'antique siège épiscopal de Carthage (aujourd'hui archidiocèse de Tunis) est restauré. Le 4 décembre, érigé en archevêché, il est confié à Lavigerie. Le cardinal conserve — par dérogation exceptionnelle du Saint-Père — celui d'Alger65, et se voit attribuer le titre de primat d'Afrique Il est inhumé à la cathédrale Saint-Louis de Carthage. Un monument funéraire est élevé en sa mémoire. Son corps est transféré en 1964 à Rome Le 23 novembre 1925, le résident général de France en Tunisie, Lucien Saint, organise une commémoration solennelle du centenaire de Lavigerie. À cette occasion, une statue du prélat, œuvre du sculpteur Élie-Jean Vézien, est offerte à la municipalité de Tunis. Celle-ci l'érige sur la place Bab El Bhar, à l'entrée des souks, à proximité de la mosquée Zitouna. Le 28 novembre, des centaines d'étudiants se rendent à l'hôtel de ville pour exiger le retrait de la statue. Le maire refuse de les recevoir, et les fait expulser. La statue n'est retirée qu'après l'indépendance de la Tunisie Lavigerie reste cependant le champion de l'anti esclavagisme ,le restaurateur de l'Eglise chrétienne des premiers siècles en Afrique du Nord. il fut tout à la fois le défenseur des peuples noirs contre la tyrannie de leurs chefs et l'instigateur d'une approche vers un monde musulman toujours mal perçu. Il laisse en héritage la Société des Missionnaires d'Afrique où Pères Blancs et Sœurs Blanches continuent à rapprocher deux civilisations séparées par des siècles de méfiance de part et d'autre.







الجمعة، 24 نوفمبر 2017

L'ABBE BOURGADE, Précurseur du dialogue des religions en Tunisie الاب بورقاد من رواد حوار الاديان في تونس

Le nom de celui qui, avec les moyens d’action les plus chétifs, dota la Tunisie de son premier hôpital, de son premier collège, de sa première presse, de son premier embryon de musée, peut-être de sa première société savante, n’y est guère connu que de quelques vieillards 3 ». Depuis l’indépendance de la Tunisie, rares sont les travaux s’intéressant à cet homme né à Gaujan en 1806, nommé vicaire à Mirande en 1832, devenu missionnaire apostolique, parti pour Alger en 1838 et installé entre Tunis et Carthage de 1841 à 1858 https://anabases.revues.org/1680










abbé Bourgade