Le « Jeudi noir », se réfère à des incidents violents ayant eu lieu en Tunisie, et plus spécifiquement à Tunis, à partir du jeudi 26 janvier 1978. Résultat d'une crise entre le gouvernement et les syndicats, la première grève générale organisée depuis l'indépendance du pays connaît un grand succès et le pays est totalement paralysé. Elle marque aussi le moment où le mouvement syndical tunisien marque une opposition radicale face au pouvoir, affirmant son désir d'autonomie face à ce dernier.
On dénombre finalement des dizaines voire des centaines de morts selon les sources
Des dizaines de procès, qui ont lieu dans les jours qui suivent, conduisent à la condamnation de quelque 500 personnes
Le 9 octobre 1978, le secrétaire général de la centrale syndicale, Habib Achour, est condamné à dix ans de travaux forcés, tout comme Abderrazak Ghorbal6, le patron de l'UGTT à Sfax. Treize autres sont punis de peines allant de huit ans de travaux forcés à six mois de prison, alors que six bénéficient d'un sursis et sept sont acquittés. Le gouvernement de Mohamed Mzali libère finalement Achour et d'autres prisonniers syndicalistes
wikipedia
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