Le gouvernement Hédi Nouira est le quatrième gouvernement tunisien formé après l'indépendance et le deuxième formé après la restauration du poste de Premier ministre. Son chef, Hédi Nouira, est nommé Premier ministre par intérim le 9 octobre 1970, en raison de l'absence de Bahi Ladgham retenu au Caire depuis le 21 septembre par les tentatives de conciliation relatives à la crise de Septembre noir. Il assure sa fonction jusqu'au 1er mars 1980, date à laquelle Mohamed Mzali est nommé comme coordinateur de l'action gouvernementale, jusqu'à sa nomination comme Premier ministre le 23 avril de la même année
Le 19 juin 1971, Bourguiba rentre à Tunis après six mois de soins à l'étranger. Son arrivée fait espérer un moment que les contradictions au sein du pouvoir vont s'apaiser mais l'affrontement consécutif aux incertitudes sur sa santé reprend de plus belle. C'est pourquoi, sur l'insistance du ministre de l'intérieur Ahmed Mestiri, le président se résout, le 24 juillet, à annoncer la tenue en octobre d'un congrès à Monastir tout en avertissant : « Tout dernièrement, ces calculs ont pris un tour exacerbé au sujet de ma succession. Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'ils sont bien prématurés »3. Comme pour prolonger l'avertissement, Mestiri est piégé par la nomination, le 7 septembre, de gouverneurs sans son aval. Il démissionne alors du gouvernement. Le 4 septembre 1971, il est déchargé de ses fonctions de ministre de l'Intérieur par décret présidentiel à la suite de son opposition à la nomination arbitraire d'un nouveau directeur de la sûreté nationale et de deux gouverneurs C'est donc dans un climat tendu que le congrès s'ouvre le 11 octobre. La presse du PSD ainsi que certains quotidiens indépendants s'engagent dans une campagne virulente contre Mestiri, assorties d'attaques personnelles et de menaces. Le 22 octobre, Bourguiba réunit le comité central au palais de Carthage et désigne une liste de 22 membres (d'où sont exclus Ladgham et Mestiri qui avaient obtenu le plus grand nombre de voix au congrès) parmi lesquels doivent être élus les membres du bureau politique
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الخميس، 7 سبتمبر 2017
الجمعة، 19 مايو 2017
CEREMONIE D'INTRONISATION DE MOHAMED LAMINE BEY LE 15 MAI 1943
Mohamed el-Amine Bey, né le 4 septembre 18811 à Carthage et décédé le 30 septembre 1962 à Tunis2, est le dernier bey de la dynastie des Husseinites qui a régné sur la Tunisie de 1705 à 1957.
Intronisé le 15 mai 1943 dans des conditions contestables suite à la destitution de son prédécesseur Moncef Bey par le général Henri Giraud en 1943, ce n’est qu’en 1948 que sa légitimité est reconnue par le peuple tunisien. Il se rapproche alors du mouvement nationaliste actif contre le protectorat français de Tunisie et en devient son représentant au plus haut niveau de l’État, n’hésitant pas à braver les résidents généraux qui se succèdent à Tunis.
Marginalisé par les représentants du Néo-Destour qui lui reprochent d’avoir accepté des réformes en 1954 alors que de nombreux militants nationalistes dont Habib Bourguiba sont toujours emprisonnés, il ne prend pas part aux négociations pour l’autonomie interne qu’il ratifie en 1955, ni à celles pour l’indépendance du pays obtenue en 1956. Après une phase d’hésitations où la mise en place d’une monarchie constitutionnelle est envisagée, le nouveau gouvernement tunisien décide d’instaurer la République le 25 juillet 1957. Lamine Bey est alors expulsé de son palais ainsi que toute sa famille. Leurs biens sont saisis et plusieurs membres incarcérés. Il finit sa vie dans un appartement exigu.
wikipedia
الأربعاء، 17 مايو 2017
FUNERAILLES DE MOHAMED EL HEDI BEY DECEDE LE 11 MAI 1906
الأربعاء، 10 مايو 2017
Commémoration du décès de TAHAR BEN AMMAR le 10 MAI 1985 / SIGNATAIRE DE L'INDEPENDANCE
Tahar Ben Ammar né le 25 novembre 1889 à Tunis et mort le 10 mai 1985, est un homme politique tunisien .
En tant que chef du gouvernement tunisien, c’est lui qui a signé les accords d’autonomie interne en 1955 et le protocole d’indépendance en 1956.
Issu d’une famille de propriétaires terriens de la grande bourgeoisie tunisoise,il effectue ses études primaires et secondaires au collège Alaoui jusqu’en 1906, date à laquelle il rejoint le lycée Carnot. Mais la mort de son père en 1907 le contraint à abandonner ses études pour diriger l’exploitation familiale.Membre du parti destourien , du parti réformiste, du Grand Conseil,Tahar Ben Ammar prend la succession de Chenik à la présidence de la section tunisienne du Grand Conseil de 1936 à 1938
Nommé chef du gouvernement le 8 aout 1954, les accords d’autonomie interne sont signés le 3 juin 1955 par Edgar Faure et Pierre July d’une part, Ben Ammar et Mongi Slim d’autre part. Reconduit pour diriger un 2e gouvernement le 17 septembre 1955, et au terme de trois semaines d’âpres discussions, le protocole d’accord franco-tunisien sur l’indépendance de la Tunisie a été signé le 20 mars 1956 par Ben Ammar et Christian Pineau, ministre français des Affaires étrangères
source des photos: http://www.taharbenammar.com/
Signature de l'independance de la Tunisie |
SIGNATURE DE L'AUTONOMIE INTERNE DE LA TUNISIE |
1er gouvernement Ben Ammar constitué en 1954 |
2e gouvernement Ben Ammar constitué en septembre 1955 |
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