L’adoption, dimanche 26 janvier 2014, à une écrasante majorité de la nouvelle Constitution tunisienne, avec 200 voix pour sur 216 députés, a donné lieu à des scènes de liesse devenues rarissimes dans un monde arabe en proie aux déchirements. Dans les couloirs de l’Assemblée nationale constituante de Tunis, adversaires et contradicteurs sont tombés dans les bras les uns des autres
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