الخميس، 5 يوليو 2018

1er Tournoi de Beach volley ball en Tunisie à Kelibia en aout 1988 اول دورة تونسية لكرة الظائرة الشاطئية في قليبية منذ 30 سنة

Slah Ben Cheikh: pour permettre aux jeunes de comprendre l'historique du Beach volley à notre ville qui est devenue un fief de ce sport. le beach volley a fait ses premiers pas en tant que pratique de sport de loisirs dans la ville américaine d'Arizona en 1940. 1970 début de compétitions sponsorisés par les sociétés de boissons. 1980 des règles de ce sport commence à être établi. 1990 c'est le boom médiatique ce qui incite les responsables de la CIO de le programme r en tant que sport de démonstration aux JO de BARCELONE en 1992. 1996 aux JO d'Atlanta le BEACH VOLLEY obtient ses lettres de noblesse en devenant sport olympique Alors que le beach volley n'a pas pris place dans plusieurs pays. ls ligue du cap bon à propose l.'organisation d'un tournoi de Beach volley le 7/8,/1988 avec l'appui de la commune de kelibia en la personne du maire Pr Mongi BEN HAMIDA et le journal El horria et son directeur M.Med Balegi ceci le dimanche 7/8 /1987 à la plage la Florida le 7 août fut un jour mémorable vu le succès populaire et médiatique en présence des grandes figures du volley ball certains responsables et anciens joueurs de la banlieue nord ont proposé à la ligue du Cap bon de les aider à organiser un tournoi de beach volley le 21 août 1988. Depuis des tournois sont programmes dans différentes villes côtières et notamment à Hammem ghezaz et El haouaria ceci a amené la FTVB de programmer une compétition officielle avec "price money 'avec parfois des prix en nature. Ceci est un récit d'un témoin de l'époque qui saisie cette occasion pour remercier tout pour remercier tout ceux qui l'ont aide à instaurer une vocation locale pour le BEACH VOLLEY









صيانة البلماريوم 1931RESTAURATION DU PALMARIUM EN 1931

Source: revue Les Chantiers Nord Africains / JUILLET 1931










الأربعاء، 4 يوليو 2018

MAIRES DE LA VILLE DE TUNIS du Général Hassine à Souad Abderrahim روساء المجلس البلدي لمدينة تونس

Avant 1858 existe la fonction de Cheikh El Médina. Le décret beylical du 30 août 1858 crée la municipalité de Tunis et en confie la gestion à un conseil municipal de quatorze membres (un président, un vice-président et douze notables) désignés par le bey. Le texte constitutif stipule que les membres du conseil sont remplacés par tiers chaque année. Un tirage au sort détermine l’ordre de sortie des conseillers dans les deux premières années. À partir de la troisième année, les sortants sont les plus anciens. Toutefois, le mandat peut être renouvelé une fois. De plus, les membres du conseil municipal de Tunis ne sont pas nommés par le pouvoir central mais élus au suffrage censitaire1. En outre, une administration spéciale chargée du nettoyage de la ville est créée par le bey le 2 juin 1872. Cette assemblée est composée d’un conseil central présidé par le président de la municipalité et d’un conseil auxiliaire pour chaque quartier de la ville. Selon le texte législatif, les membres du conseil central sont choisis par la population tunisienne. Le conseil auxiliaire du quartier habité par les Européens est composé d’un membre pour chaque nationalité représentée par un consul. Ces membres sont élus par les notables des communautés européennes et confirmés par les consuls. Aucun texte ne précise sous quelle forme doit s’effectuer le vote mais il est fort probable qu’il devait se faire par acclamations ou sous la forme d’un scrutin à main levée4. Au lendemain de l'établissement du protectorat français en 1881, les finances municipales sont gérées par un receveur français dès octobre 1882. Après la signature des conventions de La Marsa le 8 juin 1883 qui obligent le bey à signer tous les textes de lois préparés par le résident général de France, c’est ce dernier qui nomme les conseillers municipaux. Ainsi, le décret beylical du 31 octobre 1883 porte à 17 le nombre de membres dont huit Eropéens. Parmi les quatre Français nommés, deux sont vice-présidents, ce qui leur assure le pouvoir effectif5. Contrairement aux conseillers européens qui sont nommés par décret, les Tunisiens conservent le mode de désignation électif, l’un d’eux étant élu par les notables de la communauté juive6. Le décret du 1er avril 1885 fixe le mode de fonctionnement des municipalités dans toute la Régence. Le mode de désignation électif des conseillers tunisiens de Tunis est d’abord conservé, avant d’être remplacé le 10 juin 1885 par des nominations par décret comme dans toutes les autres municipalités7. Un renouvellement par tiers tous les ans est prévu par le décret mais la mesure ne sera jamais appliquée, les renouvellements devenant automatiques. Un décret est toutefois promulgué le 1er janvier 1924, limitant à trois ans le mandat de ces conseillers municipaux, mais il ne sera pas plus appliqué que le décret précédent8. Ce mode de désignation est conservé jusqu’au décret beylical du 15 septembre 1945, qui dote la ville de Tunis d’un conseil municipal composé de 18 membres tunisiens et 18 membres français, tous élus pour six ans à l’exclusion du Cheikh El Médina, qui reste désigné par l’administration. Mais les procédures d’élections ne sont pas les mêmes pour tous. Alors que les conseillers français sont élus au suffrage universel, les électeurs tunisiens sont toujours soumis au suffrage censitaire et capacitaire9. Le nombre de conseillers municipaux est porté à quarante membres (vingt Français et vingt Tunisiens) par le décret du 12 mars 1953 puis à 42 membres le 4 mars 195410. Wikipedia Certaines photos reviennent à la revue leaders




Le Géné"al Hassine 1e President du conseil municipal de la ville de Tunis en 1858


Mohamed Larbi Zarrouk

Sadok Ghileb

Mustapha Dinguizli

Khalil Bouhajeb

Abdejlil Zaouch

Mustapha Sfar

Mohamed Aziz Jellouli


Ali Belhouane

Hassib ben Ammar

Foued Mbazzaa

Ezzedine Abassi

Hassan Memmi

Salah Aouij

Zakaria ben Mustapha

Mohamed Ali Bouleymane

Abbes Mohsen

Beji  ben Mami 2010

Seifallah Lasram

Souad Abderrahim 1e femme élue maire de Tunis le 3 juillet 2018

MAIRIE DE MATEUR EN 1935 بناء مقر بلدية ماطر

Source: Revue Les Chantiers Nord Africains / Juillet 1935