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الاثنين، 4 ديسمبر 2017

Commémoration du décès de MOHIEDDINE KLIBI, leader vieux destourien et journaliste le 1 DECEMBRE 1954 ذكرى وفاة المناضل والصحفي محي الدين القليبي

Mohieddine Klibi, né en 1901 à Tunis et décédé le 1er décembre 1954 à Damas, est un homme politique tunisien. Il est l'un des pionniers du mouvement national tunisien auquel il prend part des années 1920 à sa mort. Issu d'une famille originaire de la ville de Kelibia et installée à Tunis, il devient journaliste après des études inachevées à l'Université Zitouna. Il est l'un des fondateurs en 1920 du parti du Destour, aux côtés d'Abdelaziz Thâalbi puis le directeur de ce parti, et il collabore à son journal El Irada. Il s'opposera à Habib Bourguiba, qui fait scission pour fonder le Néo-Destour et l'évince du Comité de défense de l'Afrique du Nord. https://fr.wikipedia.org/wiki/Mohieddine_Klibi/ https://ar.wikipedia.org/wiki/%D9%85%D8%AD%D9%8A%D9%8A_%D8%A7%D9%84%D8%AF%D9%8A%D9%86_%D8%A7%D9%84%D9%82%D9%84%D9%8A%D8%A8%D9%8A/ http://walidthaalbi.blogspot.com/2011/09/blog-post_03.html/ http://ar.leaders.com.tn/article/1686-/ page facebook CENTRE DE DOCUMENTATION NATIONALE محيي الدين ؛ ابن الشيخ / محمد بن عبدالقادر القليبي سياسي إصلاحي من أعضاء الحزب الدستوري الحر ، وزيتوني بالانتساب في نفس الوقت ، وثوري في وجه الاستعمار واقلامه وصحفه ، كاتب وصحفي ، انتخب عضوا في الحزب الدستوري الحر ثم أصبح كاتبا عاما له ، كتب وحرر في عدة صحف أهمها : الاتحاد ، والأمة ( اللتان تولى رئاسة تحريرها ) ، لسان الشعب ، والمشير ، والنذير ، والنديم ، والعصر الجديد ، والصواب ، والإرادة، ومرشد الأمة، والزهرة (أقدم صحيفة تونسية - والتي تولى رئاسة تحريرها في فترة من الفترات ) ، حج بيت الله الحرام ورحل إلى الشرق ، وتعرض لكثير من الأذى والنفي والتنكيل ومرض بالسكري وأسس في دمشق " بيت تونس" للدفاع عن القضية التونسية ، ودار الفكر الإسلامي للترجمة والنشر













السبت، 2 ديسمبر 2017

?CHEIKH SALAH CHERIF , nationaliste tunisien ou espion الشيخ صالح الشريف وطني تونسي

le Cheikh Salah Chérif (1863-1920) constitua, lors de son exil à Berlin, la Commission pour l’indépendance de la Tunisie et l’Algérie. Il publia La vérité du Jihad (la résistance), version allemande en 1915, et version française en 191612. Il publia, à Lausanne, en 1917, avec Ismail Sefaihi, Les doléances des peuples opprimés. La Tunisie et l’Algérie https://cdlm.revues.org/5722 biographie en allemand :https://de.wikipedia.org/wiki/Salih_asch-Scharif_at-Tunisi

source: http://www.tibbiyelihikmet.com/2015/12/28/mehmet-akifin-edebi-kisiligi-ve-1-dunya-savasindaki-faaliyetleri/




source: https://de.wikipedia.org/wiki/Salih_asch-Scharif_at-Tunisi



الأربعاء، 29 نوفمبر 2017

Commémoration du décès de HASSENE BELKHODJA décédé le 29 novembre 1981 ذكرى وفاة حسان بلخوجة

Hassen Belkhodja (arabe également orthographié Hassan Belkhodja, né le 10 mars 1916 à Ras Jebel et mort le 29 novembre 1981, est un homme politique et homme d'affaires tunisien. Dès sa jeunesse, il milite dans le mouvement militant pour l'indépendance de la Tunisie : il devient membre de la délégation du Néo-Destour à Paris et président de l'Association des étudiants nord-africains de France, ce qui le destine tout naturellement à intégrer la délégation tunisienne chargée des négociations tuniso-françaises de 1954 puis à représenter son pays en tant que haut commissaire puis ambassadeur à Paris, charge qu'il occupe à partir de 1957 et à Madrid. En 1959, il délaisse la diplomatie pour le monde des affaires. Il devient tour à tour fondateur puis PDG de la Banque nationale de Tunisie, fondateur de la Société tunisienne de l'industrie laitière, PDG de la Société nationale immobilière de Tunisie puis de l'Office du commerce, fondateur de Nestlé Tunisie avant d'accéder une première fois à la tête de la Société tunisienne de banque (STB), du 19 mars 1971 au 4 octobre 1974. Parallèlement à ces activités, il est élu membre du bureau politique du Parti socialiste destourien en 1964 et il se fait élire député dès 1971. Il occupe les responsabilités ministérielles suivantes : ministre de l'Industrie et du Commerce le 8 septembre 1969, de l'Agriculture le 25 septembre 1974, des Transports et des Télécommunications le 7 novembre 1979 et des Affaires étrangères le 15 avril 1980. En 1981, quelques mois avant sa mort, il quitte le gouvernement et renoue avec la présidence de la STB, du 22 avril au 29 novembre. En 1971, il prend la présidence du club de football de l'Espérance sportive de Tunis qu'il conserve jusqu'à sa mort wikipedia source des photos : CENTRE DE DOCUMENTATION NATIONALE










الاثنين، 6 نوفمبر 2017

STATUE DE LA REINE BEREBERE DIHYA (LA KAHENA) A EL AYOUN / KASSERINE انجاز تمثال للملكة البربرية الكاهنة او ديهيا

Dihya ou Tadmut, aussi connue sous le nom de Kahena est une reine guerrière berbère zénète des Aurès qui a combattu les omeyyades lors de la conquête musulmane du Maghreb au viie siècle, elle meurt le 10 Octobre 716 (le 2 Ramadan 82 dans le calendrier musulman)7 , à Khenchela. De nombreuses romancières et essayistes féministes se sont appropriés la figure de la Kahina pour sa charge symbolique, la décrivant comme l’une des premières féministes de l’Histoire. Cette icône de l'amazighité est la fille de Thabet, le chef de la tribu des Idjerawen. Elle est également une figure historique et identitaire majeure des Aurès ainsi que des Amazigh en Algérie. wikipedia





الاثنين، 23 أكتوبر 2017

Commémoration du décès de MONGI SLIM le 23 OCTOBRE 1969 ذكرى وفاة المنجي سليم

Mongi Slim né le 1er septembre 1908 à Tunis et décédé le 23 octobre 1969 à Tunis1, est un homme politique et diplomate tunisien. En 1936, il revient en Tunisie et adhère au Néo-Destour dont il assume la direction à la fin des années 1940 et au début des années 1950. En 1952, il est écroué puis relâché au début de l'année 1954, ce qui est jugé comme un geste d'apaisement à l'égard des nationalistes tunisiens. En 1954, il devient le négociateur en chef de la délégation tunisienne aux pourparlers de Paris menés avec le gouvernement français jusqu'en juin 1955 et qui conduisent au protocole accordant l'autonomie interne à la Tunisie. Il devient ensuite ministre de l'Intérieur jusqu'en avril 1956. En sa qualité de ministre, il participe aux négociations avec le gouvernement français qui se soldent par le protocole du 20 mars 1956 accordant à la Tunisie son indépendance. En septembre 1956, il est nommé ambassadeur de la Tunisie auprès des États-Unis. À ce poste sont liés ceux d'ambassadeur auprès du Canada et de représentant permanent auprès des Nations unies. En janvier 1957, il est élu au Comité spécial de l'Assemblée générale des Nations unies sur la question hongroise. Il est également représentant permanent de la Tunisie au Conseil de sécurité entre janvier 1959 et décembre 1960. Il participe à toutes les sessions de l'Assemblée générale des Nations unies en tant que chef de la délégation tunisienne dès que la Tunisie devient membre des Nations unies en 1956. En 1961, il participe à la troisième session extraordinaire de l'Assemblée générale qui traite de la crise de Bizerte. Il quitte ses postes d'ambassadeur en février 1961 lorsqu'il est élu président de l'Assemblée générale. Il occupe ce poste quand, en 1962, il est nommé ministre des Affaires étrangères de la Tunisie. Nommé par la suite représentant personnel du président Habib Bourguiba, avec rang de ministre5, le 12 novembre 1964 puis ministre de la Justice entre le 5 septembre 1966 et le 6 septembre1969, il s'éteint le 23 octobre et se voit inhumé au carré des martyrs du cimetière du Djellaz. WIKIPEDIA

PRESIDENT DE L'ASSEMBLEE GENERALE DE L'ONU

AU GOUVERNEMENT DE TAHAR BEN AMMAR





إضافة تسمية توضيحية


السبت، 14 أكتوبر 2017

Commémoration du 110è Anniversaire de SALAH BEN YOUSSEF 11octobre 1907 ذكرى ميلاد الزعيم صالح بن يوسف

Salah Ben Youssef, né le 11 octobre 1907 à Maghraoua (Djerba) et assassiné le 12 août 1961 à Francfort-sur-le-Main (Allemagne), est un homme politique tunisien et l'un des principaux chefs de file du mouvement national tunisien. Il commence sa carrière politique en tant que secrétaire général du Néo-Destour, poste où il joue un rôle de premier plan pendant l'exil de Bourguiba. En août 1950, il est désigné ministre de la Justice dans le gouvernement de M'hamed Chenik. Chargé de porter à l'ONU, réunie à Paris, une plainte tunisienne en mars 1952, il échappe de peu à l'arrestation et à la déportation. Alors qu'il voyage à travers le monde pendant plus de trois ans — où il est reçu par Gamal Abdel Nasser, Jawaharlal Nehru ou encore Zhou Enlai —, les accords avec la France sur l'autonomie interne sont signés. wikipedia Ce fait accompli sans lui et qu'il prend pour « un pas en arrière et une entrave » l'ulcère. L'évacuation des troupes françaises de l'ensemble du territoire tunisien est pour lui un préalable indiscutable à une véritable indépendance nationale. De lieutenant et ami de Bourguiba, rentré au pays le 1er juin 1955, il devient son ennemi irréductible2. Selon Ben Youssef, son adversaire est coupable de pratiquer une « politique de reniement et de trahison » à l'égard du peuple tunisien et de la révolution algérienne. Rentré pour sa part en Tunisie depuis Le Caire le 13 septembre, il met en œuvre un plan d'agitation dans tout le pays.


AVEC BOURGUIBA


Avec FARHAT HACHED

AVEC BEHI LADGHAM

AVEC TAHAR BEN AMMAR



RETOUR D'EXIL