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الأربعاء، 8 مارس 2017

COMMEMORATION DE L'ATTAQUE DE BEN GARDANE PAR LES TERRORISTES DE DAECH / LE 7 MARS 2016

L'attaque de Ben Gardane ou la bataille de Ben Gardane a lieu le 7 mars 2016 en Tunisie. Les affrontements opposent les forces de sécurité tunisiennes aux djihadistes de l'État islamique L'attaque commence le 7 mars 2016, à l'aube. Les djihadistes, divisés en plusieurs groupes et bénéficiant de la complicité de cellules locales, attaquent de façon coordonnée une caserne de l'armée tunisienne, un poste de police et le quartier général de la garde nationale. Dès le début de l'attaque, deux officiers de sécurité responsables de la lutte antiterroriste sont abattus à leur domicile. Des hommes sillonnent la ville avec des mégaphones en annonçant qu'ils sont l'État islamique et appellent la population à les soutenir Mais, après quelques heures d'affrontements, les djihadistes sont finalement repoussés. L'armée, la police, la garde nationale et la douane, appuyés par différente unités des forces spéciales arrivées en renfort, contre-attaquent et pourchassent les derniers assaillants qui ont pris la fuite Au matin du 8 mars, le « bilan définitif » est de douze morts et quatorze blessés pour l'armée et les forces de sécurité, sept civils tués et 36 morts du côté de l'EI, ainsi que sept assaillants faits prisonniers wikipedia











الثلاثاء، 7 فبراير 2017

Commémoration du BOMBARDEMENT DE SAKIET SIDI YOUSSEF LE 8 FEVRIER 1958 par les français

8 février 1958. Le village tunisien de Sakiet Sidi Youssef, proche de la frontière algérienne, est bombardé par l'armée française après des tensions entre l'armée et des combattants de l'ALN basés en Tunisie. 70 victimes sont à dénombrer dont une vingtaine d'enfants. L'indignation monte jusqu'à l'Onu Le bombardement de Sakiet Sidi Youssef est une opération menée par l'armée française, dans le cadre de la guerre d'Algérie, sur le village tunisien de Sakiet Sidi Youssef le 8 février 1958, causant la mort de plus de 70 personnes, dont une douzaine d'élèves d'une école primaire, et 148 blessés parmi la population civile. Depuis, chaque 8 février, la Tunisie et l'Algérie commémorent conjointement cet événement.
















الجمعة، 27 يناير 2017

COMMEMORATION DE L'INSURRECTION DE GAFSA DU 27 JANVIER 1980

Le 27 janvier 1980 à 2 heures du matin, un commando attaque la caserne de l'armée, le poste de la garde nationale et le poste de police de la ville minière de Gafsa, considérée comme frondeuse vis-à-vis du gouvernement, qui se réveille sous un tir nourri d'armes automatiques5. Les habitants s'enferment et restent sourds aux appels d'une radio pirate les exhortant à déclencher une insurrection populaire contre le régime du président Habib Bourguiba. Le 27, le commando s'empare de la caserne de la ville. L'armée est alors chargée de mater l'insurrection mais met onze heures pour arriver sur place après une manœuvre d'intimidation libyenne à la frontière Le 28 janvier, le président Bourguiba, qui au moment de l'attaque se repose à Nefta, à près d'une centaine de kilomètres de Gafsa, ne change pas le programme de son séjour. À sa demande, la France décide d'envoyer des avions de transport, deux hélicoptères Puma et un groupe de conseillers militaires. Trois bateaux de guerre et leur escorte de cinq sous-marins doivent être dépêchés de Toulon sur les côtes tuniso-libyennes. L'aide des États-Unis, de son côté, doit se manifester par l'envoi de navires de guerre non loin du littoral tunisien et par la livraison rapide d'hélicoptères et d'engins de transport pour « renforcer la capacité défensive du pays ». Le Maroc déclare envoyer deux avions de transport et des hélicoptères. Toutefois, ces aides arriveront après la fin de l'attaque : Gafsa est reprise en main par l'armée le 3 février au prix de 48 morts, dont 24 militaires, 21 civils et trois assaillants, d'une centaine de blessés et de soixante arrestations parmi les assaillants En avril, la Cour de sûreté de l'État condamne une quarantaine de prévenus : quinze sont exécutés et vingt-cinq récoltent des peines de travaux forcés à perpétuité6. Dix d'entre eux doivent être graciés mais Yasser Arafat, leader de l'OLP, intercède en leur faveur, ce qui provoque la colère de Bourguiba qui refuse finalement toute grâce6 wikipedia. Source photos : http://www.moncefelmateri.com/laffaire-evenement-gafsa-tunisie-1980-temoignage-moncef-el-materi/ http://www.samibenabdallah.info/2012/03/07/tunisie-linsurrection-a-gafsa-26-janvier-1980/