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الجمعة، 27 يناير 2017

COMMEMORATION DE L'INSURRECTION DE GAFSA DU 27 JANVIER 1980

Le 27 janvier 1980 à 2 heures du matin, un commando attaque la caserne de l'armée, le poste de la garde nationale et le poste de police de la ville minière de Gafsa, considérée comme frondeuse vis-à-vis du gouvernement, qui se réveille sous un tir nourri d'armes automatiques5. Les habitants s'enferment et restent sourds aux appels d'une radio pirate les exhortant à déclencher une insurrection populaire contre le régime du président Habib Bourguiba. Le 27, le commando s'empare de la caserne de la ville. L'armée est alors chargée de mater l'insurrection mais met onze heures pour arriver sur place après une manœuvre d'intimidation libyenne à la frontière Le 28 janvier, le président Bourguiba, qui au moment de l'attaque se repose à Nefta, à près d'une centaine de kilomètres de Gafsa, ne change pas le programme de son séjour. À sa demande, la France décide d'envoyer des avions de transport, deux hélicoptères Puma et un groupe de conseillers militaires. Trois bateaux de guerre et leur escorte de cinq sous-marins doivent être dépêchés de Toulon sur les côtes tuniso-libyennes. L'aide des États-Unis, de son côté, doit se manifester par l'envoi de navires de guerre non loin du littoral tunisien et par la livraison rapide d'hélicoptères et d'engins de transport pour « renforcer la capacité défensive du pays ». Le Maroc déclare envoyer deux avions de transport et des hélicoptères. Toutefois, ces aides arriveront après la fin de l'attaque : Gafsa est reprise en main par l'armée le 3 février au prix de 48 morts, dont 24 militaires, 21 civils et trois assaillants, d'une centaine de blessés et de soixante arrestations parmi les assaillants En avril, la Cour de sûreté de l'État condamne une quarantaine de prévenus : quinze sont exécutés et vingt-cinq récoltent des peines de travaux forcés à perpétuité6. Dix d'entre eux doivent être graciés mais Yasser Arafat, leader de l'OLP, intercède en leur faveur, ce qui provoque la colère de Bourguiba qui refuse finalement toute grâce6 wikipedia. Source photos : http://www.moncefelmateri.com/laffaire-evenement-gafsa-tunisie-1980-temoignage-moncef-el-materi/ http://www.samibenabdallah.info/2012/03/07/tunisie-linsurrection-a-gafsa-26-janvier-1980/
















LA CONSTITUTION DU 27 JANVIER 2014, fruit de 3 ans de débats et de luttes

L’adoption, dimanche 26 janvier 2014, à une écrasante majorité de la nouvelle Constitution tunisienne, avec 200 voix pour sur 216 députés, a donné lieu à des scènes de liesse devenues rarissimes dans un monde arabe en proie aux déchirements. Dans les couloirs de l’Assemblée nationale constituante de Tunis, adversaires et contradicteurs sont tombés dans les bras les uns des autres









الخميس، 26 يناير 2017

COMMEMORATION DU DECRET D'AHMED BEY DU 23 JANVIER 1846 ABOLISSANT L'ESCLAVAGE

L’escalavage a été aboli le 23 janvier 1846 par Ahmed Ier Bey Avant de procéder à l'abolition définitive de l'esclavage, Ahmed Ier Bey a, le 29 avril 1841, un entretien avec Thomas Reade qui lui conseille d'interdire ce commerce. Convaincu de la nécessité d'une telle action, étant lui-même fils d'une esclave et considéré comme un prince ouvert au progrès prompt à réprimer toute forme de fanatisme, il décide d'interdire l'exportation des esclaves le jour même de sa rencontre avec Reade. Procédant par étapes, il ferme le marché aux esclaves de Tunis en août et annonce, en décembre 1842, que toute personne née dans le pays est désormais libre8. Pour parer à toute forme de mécontentement, il obtient au préalable des fatwas des oulémas dont celle, catégorique et sans précédent dans le monde arabo-musulman, du bach mufti Sidi Brahim Riahi. L'abolition totale est décidée pour tout le pays par le décret du 23 janvier 1846 La Tunisie est devenue ainsi le premier pays arabe et musulman à abolir l’esclavage La France a du attendre le 27 avril 1848 et ce n’est que le 18 décembre 1865 que les USA ont mis un trait à la servitude et l’esclavage dans leur pays, la Tunisie peut être fière de cette date. WIKIPEDIA


















LE 26 JANVIER 1978 A TRAVERS LA PRESSE









الأربعاء، 25 يناير 2017

Evènements du JEUDI NOIR DU 26 JANVIER 1978

Le « Jeudi noir », se réfère à des incidents violents ayant eu lieu en Tunisie, et plus spécifiquement à Tunis, à partir du jeudi 26 janvier 1978. Résultat d'une crise entre le gouvernement et les syndicats, la première grève générale organisée depuis l'indépendance du pays connaît un grand succès et le pays est totalement paralysé. Elle marque aussi le moment où le mouvement syndical tunisien marque une opposition radicale face au pouvoir, affirmant son désir d'autonomie face à ce dernier. On dénombre finalement des dizaines voire des centaines de morts selon les sources Des dizaines de procès, qui ont lieu dans les jours qui suivent, conduisent à la condamnation de quelque 500 personnes Le 9 octobre 1978, le secrétaire général de la centrale syndicale, Habib Achour, est condamné à dix ans de travaux forcés, tout comme Abderrazak Ghorbal6, le patron de l'UGTT à Sfax. Treize autres sont punis de peines allant de huit ans de travaux forcés à six mois de prison, alors que six bénéficient d'un sursis et sept sont acquittés. Le gouvernement de Mohamed Mzali libère finalement Achour et d'autres prisonniers syndicalistes wikipedia