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الجمعة، 27 يناير 2017

LA CONSTITUTION DU 27 JANVIER 2014, fruit de 3 ans de débats et de luttes

L’adoption, dimanche 26 janvier 2014, à une écrasante majorité de la nouvelle Constitution tunisienne, avec 200 voix pour sur 216 députés, a donné lieu à des scènes de liesse devenues rarissimes dans un monde arabe en proie aux déchirements. Dans les couloirs de l’Assemblée nationale constituante de Tunis, adversaires et contradicteurs sont tombés dans les bras les uns des autres









الخميس، 26 يناير 2017

COMMEMORATION DU DECRET D'AHMED BEY DU 23 JANVIER 1846 ABOLISSANT L'ESCLAVAGE

L’escalavage a été aboli le 23 janvier 1846 par Ahmed Ier Bey Avant de procéder à l'abolition définitive de l'esclavage, Ahmed Ier Bey a, le 29 avril 1841, un entretien avec Thomas Reade qui lui conseille d'interdire ce commerce. Convaincu de la nécessité d'une telle action, étant lui-même fils d'une esclave et considéré comme un prince ouvert au progrès prompt à réprimer toute forme de fanatisme, il décide d'interdire l'exportation des esclaves le jour même de sa rencontre avec Reade. Procédant par étapes, il ferme le marché aux esclaves de Tunis en août et annonce, en décembre 1842, que toute personne née dans le pays est désormais libre8. Pour parer à toute forme de mécontentement, il obtient au préalable des fatwas des oulémas dont celle, catégorique et sans précédent dans le monde arabo-musulman, du bach mufti Sidi Brahim Riahi. L'abolition totale est décidée pour tout le pays par le décret du 23 janvier 1846 La Tunisie est devenue ainsi le premier pays arabe et musulman à abolir l’esclavage La France a du attendre le 27 avril 1848 et ce n’est que le 18 décembre 1865 que les USA ont mis un trait à la servitude et l’esclavage dans leur pays, la Tunisie peut être fière de cette date. WIKIPEDIA


















LE 26 JANVIER 1978 A TRAVERS LA PRESSE









الأربعاء، 25 يناير 2017

Evènements du JEUDI NOIR DU 26 JANVIER 1978

Le « Jeudi noir », se réfère à des incidents violents ayant eu lieu en Tunisie, et plus spécifiquement à Tunis, à partir du jeudi 26 janvier 1978. Résultat d'une crise entre le gouvernement et les syndicats, la première grève générale organisée depuis l'indépendance du pays connaît un grand succès et le pays est totalement paralysé. Elle marque aussi le moment où le mouvement syndical tunisien marque une opposition radicale face au pouvoir, affirmant son désir d'autonomie face à ce dernier. On dénombre finalement des dizaines voire des centaines de morts selon les sources Des dizaines de procès, qui ont lieu dans les jours qui suivent, conduisent à la condamnation de quelque 500 personnes Le 9 octobre 1978, le secrétaire général de la centrale syndicale, Habib Achour, est condamné à dix ans de travaux forcés, tout comme Abderrazak Ghorbal6, le patron de l'UGTT à Sfax. Treize autres sont punis de peines allant de huit ans de travaux forcés à six mois de prison, alors que six bénéficient d'un sursis et sept sont acquittés. Le gouvernement de Mohamed Mzali libère finalement Achour et d'autres prisonniers syndicalistes wikipedia










الأربعاء، 4 يناير 2017

Evenements politiques dans la mémoire / LES EMEUTES DU PAIN DE JANVIER 1984


Les « émeutes du pain » sont des protestations de rue qui interviennent entre le 27 décembre 1983 et le 6 janvier 1984 en Tunisie. À la fin de décembre 1983, à la suite d'une demande du Fonds monétaire international de stabiliser l’économie nationale, le gouvernement annonce l’augmentation des prix du pain et des produits céréaliers comme la semoule. Les premières réactions fusent du sud : Douz, Kébili, El Hamma, Gabès puis Kasserine se révoltent. Tunis et sa banlieue s’embrasent le 3 janvier et les émeutes se poursuivent pendant trois jours malgré la proclamation de l’état d'urgence et le couvre-feu décrétés dès le 1er janvier. Le 6 janvier, le président Habib Bourguiba convoque la télévisionet indique : « Toutes les augmentations sont annulées. Que Dieu bénisse le peuple tunisien ». Officiellement, les incidents font 70 morts. Jeune Afrique du 18 janvier avance, d’après son décompte effectué dans les hôpitaux, le chiffre de 143 morts et d’un millier d’arrestations. Paul Balta écrit dans Le Monde du 10 janvier : « Les habitants des ceintures rouges de Tunis et des grandes villes, souvent au-dessous du seuil de la pauvreté, qui rejoignent dans leur révolte les populations déshéritées du bled, ont manifesté leur colère plus violemment et en plus grand nombre que le 26 janvier 1978 WIKIPEDIA